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Le soleil | Sénégal | 13/03/2007 | Lire l'article original
Elle a précisé que des mécanismes à partir d’une subvention internationale permettraient aux Etats africains d’acheter des anti- paludéens puis de les revendre aux prix de la chloroquine.
Elle a, en outre, souhaité que la baisse du prix des anti-paludéens s’accompagne de la mise en place d’un circuit de distribution de médicaments plus efficace et associant le secteur privé. « Vous pouvez trouver dans n’importe quel coin reculé d’Afrique une boisson comme Coca-Cola grâce à l’action des commerçants locaux. Nous devons nous appuyer sur ce type de circuit pour rendre les anti-paludéens accessibles », a dit Mme Seck.
Estimant que le paludisme est « un défi » qui dépasse largement les pouvoirs publics africains, elle a appelé la Société civile africaine à prêter son concours aux actions de lutte contre la maladie sur le continent. « Chaque apport pour la lutte contre le paludisme est un acquis. Nous avons besoin des médias, des syndicats, des associations et des autres acteurs de la Société civile pour gagner la bataille », a ajouté l’ancien ministre, rappelant que les stratégies nationales ont enregistré des succès dans certains états comme le Rwanda, le Sénégal et le Togo. « La baisse du coût est une étape, il y a d’autres défis à relever. Ils sont importants. Mais il n’y a aucune raison que nous ne gagnions pas la bataille de sauver des centaines de milliers de vies humaines », a conclu Mme Seck.
PANA
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