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Madagascar tribune | Madagascar | 27/02/2023 | Lire l'article original
Le ministère de la Santé publique réagit face à certaines dérives dans l'exercice de la médecine traditionnelle et alternative. Dans une note publiée le 24 février dernier, il rappelle que l'exercice de la médecine traditionnelle, l'ouverture d'un cabinet de soins ou de centre de formation en santé sont subordonnés à l'octroi d'une autorisation délivré par le ministère chargé de la santé.
Récemment, la création d'une centre formation qui dispense des cours d'une durée de trois mois pour devenir tradipraticien a suscité de nombreuses polémiques sur les réseaux sociaux. Ce centre est dirigé par Jean Nirina Rafanomezantsoa, président d'une association dénommée Fitrama et de Hafari, une autre association qui se dit défenseur de la couche sociale défavorisée victime de spoliation de terrain. Apparemment si on se réfère à la note du ministère de la santé, aucune autorisation n'a donc été délivrée pour ce centre.
Le ministère de la santé a également rappelé les interdictions de publicité, de toute annonce, de communication, émission ou réclame à caractère mercantile relatives aux remèdes traditionnels améliorés ainsi que toute campagne d'information médiatisé ou non, ayant pour but de faire connaître le praticien, et l'établissement de soins en médecine traditionnelle et alternative.
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