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5ème conférence africaine sur la nutrition : la mobilisation financière, un défi

Sud Quotidien | Sénégal | 21/11/2023 | Lire l'article original

Relever le défi de la nutrition en Afrique, c’est l’objectif que s’est fixée la Fédération africaine des sociétés de nutritions (Fanus). En collaboration avec l’Association de nutrition et d’alimentation du Sénégal (Anas), la dite fédération organise, depuis dimanche dernier, sa 5ème conférence, qui se tient tous les 4 ans, à Dakar.

Pour la première fois, la Fédération africaine des sociétés de nutrition (Fanus) tient sa conférence dans un pays francophone et le Sénégal a eu l’honneur de l’abriter. Ouvert depuis dimanche 19 novembre dernier, la cérémonie officielle s’est déroulée hier, lundi et va se poursuivre jusqu’au 24 novembre prochain. Selon les acteurs de la nutrition, cette conférence est l’une des rencontres scientifiques les plus importantes, en Afrique, dans le domaine de la nutrition et de l’alimentation. Pour cette édition, la Fanus a renseigné qu’«il arrive dans ce contexte de changement de paradigme dans les approches pour relever les défis alimentaires et nutritionnels qui se posent à l’Afrique».

Avec près de 500 participants attendus, les organisateurs ont réussi le pari de la mobilisation. Pour Dr Valérie Quenum Ndiaye, présidente de l’Association nationale de la nutrition du Sénégal (Anas), en Afrique, nous avons à peu près les mêmes défis et réalités culturelles et le même environnement. « Nous savons que l’Afrique peut nourrir tous les Africains et d’autres pays du monde parce que nous avons cette capacité. Notre rôle, c’est d’influencer les autorités publiques. Nous avons des ressources alimentaires locales, des habitudes alimentaires traditionnelles qui sont bien, qui nous permettent d’être en bonne santé. Il y a de bonnes pratiques à mettre en avant, réapprendre aux tout-petits comment s’alimenter » a-t-elle fait savoir.

Et de poursuivre : « les goûters qu’on sert aux enfants sont soit très salés, trop sucrés ou trop gras et peuvent déclencher des maladies non transmissibles dont le surpoids, l’obésité, les maladies cardiaques, rénales et même mentales ainsi que des cancers et de manière beaucoup plus tôt». Pour Dr Valérie, ils ont un rôle à jouer pour dire aux décideurs comment il faut orienter les politiques de nutrition, pour que la population soit en bonne santé, avec une bonne nutrition. «Au Sénégal, on a une approche multisectorielle. Maintenant, il faut passer aux financements de tous ces plans qu’on élabore et les mettre en pratique, parce que la nutrition n’est pas, contrairement à d’autres programmes, comme la vaccination, le paludisme, le Sida, entre autres », a-t-elle avancé.

Du côté du Sénégal, la secrétaire exécutive du Conseil national du développement de la nutrition, Aminata Ndoye Diop, a fait savoir qu’« avant, on parlait de Cellule de lutte contre la malnutrition ; mais, maintenant, on parle de développement parce qu’on voudrait renforcer la résilience par rapport à l’insécurité nutritionnelle. Et dans ce cadre, plusieurs actions ont été posées et plusieurs plans mis en œuvre. Et, présentement, nous sommes en train d’être dans l’institutionnalisation de la nutrition ».

Pour rendre fructueuse cette démarche, elle a préconisé son appropriation. « Il faudrait une appropriation de tous les secteurs pour que l’on puisse être à bout des problèmes nutritionnels. Cela donne l’idée de l’implication des acteurs qui sont dans le domaine de l’agriculture, du secteur de l’hydraulique ». Et d’ajouter : « ce qu’il faut retenir est que nous avons un Plan stratégique 2018-2022 ; malheureusement, la mise en place de ce plan a été perturbé par les crises que nous avons traversées, avec les implications sur la santé, la nutrition, l’alimentation et l’accès aux services sociaux de bases ».

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