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Cameroon tribune | Cameroun | 29/05/2009 | Lire l'article original
Bien plus, le traitement de la maladie doit nécessairement intégrer la prise en charge de la douleur, de l’avis du Pr. Jacqueline Ze Mikande, présidente du comité d’organisation de ces journées. Le mal peut entraîner des conséquences graves lorsqu’il est mal traité. Elle ajoute que « le développement d’un centre de lutte contre la douleur à Yaoundé est un impératif face à l’importance de la pandémie Vih/Sida, des pathologies cancéreuses et de la traumatologie routière, qui constituent les principaux vecteurs de douleur».
Le lancement de ces journées a également vu la tenue d’un atelier regroupant des médecins et chercheurs venus de France, du Gabon, du Bénin, du Sénégal, de la Cote d’Ivoire, du Tchad et du Mali. Deux jours durant, ces congressistes ont examiné les douleurs opératoires, aux urgences, en traumatologie, chez les patients porteurs des Ist/Vih/Sida ainsi que les douleurs et l’éthique.
Ces assises constituent l’aboutissement d’un processus engagé le 24 janvier dernier à Yaoundé par la création de la Société camerounaise d’étude et de traitement de la douleur. L’une de ses missions est la mise sur pied d’un protocole de prise en charge de la douleur utilisable à l’échelon national. Pour ce faire, les travaux de l’atelier qui s’est achevé hier, seront consignés dans un livre et sur un CD Rom. Lequel sera mis à la disposition des personnels de santé camerounais.
Hugues Marcel TCHOUA
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