L'actualité

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L'actualité de la santé en Afrique
Avril 2004

Départements du Mono et du Couffo: Houéyogbé et Djakotomey dotés de nouveaux centres de santé - Le Matinal - Bénin - 13/04/2004
Houéyogbé et Djakotomey, deux communes des départements du Mono et du Couffo, disposent chacun d'un nouveau centre de santé. D'un montant de plus de 262 millions de francs Cfa, ces deux joyaux sanitaires construits ou rénovés sur un financement du Fonds européen de développement ont été inaugurés le vendredi 9 avril 2004 par le ministre de la santé publique et le Chef de la délégation de la Commission européenne au Bénin.
Les centres de santé de Houéyogbé et de Djakotomey font partie de sept centres de santé ciblés par un grand programme d'appui au secteur de la santé et financé à hauteur de 7 milliards de francs Cfa sur le septième fonds européen de développement. C'est grâce à ce programme qui vise à améliorer le fonctionnement du système de santé dans les départements de l'Ouémé, de l'Atlantique et du Mono que le centre de santé de Houéyogbé a été entièrement rénové. D'un montant global de 164 828 517 francs Cfa (non compris l'équipement), le centre de santé de la commune de Houéyogbé est constitué d'un dispensaire, d'un laboratoire, d'un bloc administratif, de trois logements et d'abris pour accompagnateurs. "C'est un joyau dont nous avons tous le devoir de nous occuper, car mieux il sera entretenu, mieux il sera fréquenté et plus la prise en charge de nos malades sera effective", a souligné le ministre de la santé publique, Madame Céline Seignon Kandissounon. En réponse à cet appel, le maire de la commune de Houéyogbé a rassuré le ministre de la Santé publique d'un entretien permanent du centre. A Djakotomey, le ministre de la santé publique a inauguré un autre centre de santé dont le coût de la construction s'élève à 94 537 089 francs Cfa. Selon l'Ambassadeur Franco Nulli, Chef de la délégation de la Commission européenne au Bénin, le programme sur lequel ont été financés les centres de santé de Houéyogbé et Djakotomey a déjà doté le Bénin d'infrastructures et d'équipements au niveau des normes sanitaires. Ainsi, plus de 214 dispensaires ont été équipés en matériel médical au cours des années 2001 et 2002. A cela s'ajoutent la construction et la réhabilitation de 5 centres de santé, 2 hôpitaux de zones; sans oublier la formation du personnel médical au niveau central et périphérique."Ces investissements lourds dans les trois départements doivent maintenant s'accompagner, là où cela ne serait pas encore le cas, de dotation "en équipements et en personnel qualifié afin de rendre opérationnels les centres de santé et d'offrir aux populations des soins de qualité", a conclu l'Ambassadeur Franco Nulli. Eugène ABALLO
Lire l'article original : http://www.lematinalonline.com/lmo_article.cfm?article_num=16088

La mission du médecin : rétablir la santé ou retarder la mort, mais à quel prix ? - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 10/04/2004
Le principal objectif d'un système sanitaire est l'amélioration de la santé de la population. Les prestations de services de santé en sont la principale fonction. Le système de soins constitue dans notre pays, comme dans la majorité des pays en développement, l'essentiel de ces prestations. Lire la suite

Prévention des maladies : Le Sénégal déclare la guerre au paludisme - Le Soleil - Sénégal - 09/04/2004

Le paludisme est un problème majeur de santé publique au Sénégal. Tous les ans, le paludisme tue quelque 8.000 individus. Ce sont les femmes enceintes et les jeunes enfants qui sont les principales victimes. Récemment, à la veille de la célébration de la fête nationale de l'indépendance, le chef de l'Etat, Me Wade, déclarait : "notre pays vient de déclarer la guerre au paludisme qui fait des ravages au sein de nos populations". Lire la suite


Prévention de la transmission du VIH de la mère à l'enfant : Les résultats jugés satisfaisants - Sidwaya - Burkina Faso - 09/04/2004

En partenariat avec l'Association Laafi la Viim (ALAVI), la direction de la Santé de la famille a tenu une conférence de presse le 6 avril 2004 à Ouagadougou sur le Programme national de prévention de la transmission mère-enfant du VIH (PTME/VIH). Lire la suite


Commerce du sang, rareté des dons, pénurie... Les experts pour un renforcement de la législation - Le libéral - Côte d'Ivoire - 09/04/2004
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a lancé mercredi un appel pour faire cesser le "commerce du sang" alors que sévit à l'échelle mondiale une pénurie pour les transfusions qui affecte surtout les pays en développement. A l'issue d'une conférence internationale de cinq jours sur les dons de sang à Pékin, l'OMS a précisé que les délégués de 50 pays s'étaient prononcés pour "un renforcement de la législation afin de sécuriser l'offre de sang" pour les transfusions. "Beaucoup de progrès ont été accomplis durant les dernières années" en matière de sécurité des produits sanguins. Mais beaucoup reste à faire, selon un communiqué de l'agence onusienne qui co-organisait la conférence avec la Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge. " Le sang acquis illégalement apporte des risques incalculables d'infection. Le commerce du sang doit être éradiqué", a déclaré Peter Carolan, un responsable de la Fédération internationale cité par le communiqué. Les dons les plus sûrs proviennent de volontaires non payés, a-t-il ajouté. La pénurie de sang au niveau mondial pour les transfusions frappe surtout les pays en développement, selon les experts réunis dans la capitale chinoise. " Nous n'avons pas assez de sang pour couvrir les besoins mondialement... nous savons qu'il y a des gens qui meurent" à cause de la pénurie, a renchéri la coordinatrice en charge de la sécurité des dons de sang au sein de l'OMS, Neelam Dhingra. En 2000-2001, les 178 pays dans lesquels des dons de sang ont été comptabilisés ont collecté 81 millions d'unités de 350 millilitres chacune. Mais 60% des dons venaient des pays développés et seulement 40% des pays en développement, où réside 82% de la population mondiale. Dans les pays pauvres, le sang est souvent donné par des membres de la famille des malades, pour lesquels l'unique autre solution consiste généralement à devoir payer d'autres donateurs, a ajouté Mme Dhingra. Elle souligne que ces dons de sang ne sont pas très sûrs parce qu'effectués sous la pression de l'entourage ou motivés par l'appât du gain. De nombreux obstacles culturels freinent aussi les dons de sang.
Lire l'article original : http://www.leliberal.info/ll01.asp?action=lire&rname=Sommaire&id=2529

Sida - L'express - Madagascar - 08/04/2004

Grâce à de nouveaux accords, des tests et des médicaments bon marché contre le Sida seront à la portée de centaines de milliers de patients dans le monde en développement. Le Fonds mondial, la Banque mondiale et l'Unicef s'allient à la Fondation Clinton pour mettre en œuvre d'importantes réductions de prix négociées par la Fondation Genève, New York, Washington... Lire la suite


Bondoukou et tanda : Les dernières poches de résistance du ver de Guinée - Notre voie - Côte d'Ivoire - 07/04/2004
Pour donc s'attaquer définitivement à cette maladie, la décision a été prise d'organiser cette année les 6 journées du ver de Guinée dans le Zanzan. C'est la sous-préfecture de Tankesse qui a été retenue et récemment le stade de cette localité a servi de cadre au lancement de ces journées. Le docteur Brou Aka Noël, nouveau responsable du Programme national d'éradication du ver de Guinée (PNEUC), a donné les dernières statistiques qui montrent que la région du Zanzan et singulièrement le département de Tanda et la sous-préfecture de Sandegué à Bondoukou représentent les dernières poches de résistance de cette maladie. Les populations rurales devront se rendre au premier centre de santé dès l'apparition des premiers signes et éviter les voyages afin de ne pas propager la maladie. Au nom du ministre d'Etat, ministre de la Santé et de la Population absent, c'est le préfet de Tanda, M. Issa Coulibaly, qui a lu le message du gouvernement. Le Zanzan occupe à ce jour la première place au plan national. Et le district sanitaire de Tanda a notifié à lui seul 29 cas sur 42 (en 2003 au plan national). Malgré donc les efforts entrepris beaucoup reste à faire. L'objectif du gouvernement est d'éradiquer d'ici 2007, cette maladie. C'est pour quoi, il est demandé à tous de s'impliquer davantage dans la lutte et aussi le programme. M.D.K
Lire l'article original : http://www.notrevoie.ci/story.asp?ID=14203

Fonctionnement des CHU : "Les médecins CES accomplissent 70% des tâches", selon le Dr Vé Sindé - Le Patriote - Côte d'Ivoire - 07/04/2004

Le fonctionnement du système sanitaire ivoirien connaît des perturbations depuis la dernière semaine du mois de mars. Depuis le 22 mars 2004, environ 450 médecins appelés, dans le jargon de la Santé publique, "médecins CES", observent un arrêt de travail pour, disent-ils, protester contre l'augmentation abusive des droits d'inscription spécialisation. Lire la suite


Lutte contre le paludisme en Côte d'Ivoire : La Chine offre 10 millions de francs de médicaments - Le Patriote - Côte d'Ivoire - 07/04/2004

Dix millions de francs. C'est la valeur d'un important don en médicaments anti-paludisme, offerts par la Chine à la Côte d'Ivoire, le jeudi 1er avril dernier, dans les locaux de la Pharmacie de la Santé publique (PSP) à Treichville. Selon l'ambassadeur de la Chine en Côte d'Ivoire, ce don répond non seulement au renforcement de la coopération entre les deux pays mais surtout à la volonté de son pays à contribuer activement à l'éradication du paludisme en Côte d'Ivoire. Pour Son excellence Ma Zhixue, conscient que la santé de la population constitue la base de développement de tout pays, il s'agit à travers ce don, de soutenir les efforts louables du gouvernement ivoirien dans l'amélioration du niveau de santé des Ivoiriens. Tout en reconnaissant que le paludisme reste la première cause de maladie et de mortalité en Côte d'Ivoire, le ministre d'Etat, ministre de la Santé et de la population confirme l'engagement de la Chine aux côtés de la Côte d'Ivoire dans l'éradication de la pandémie. "Ce don permettra d'accompagner le paludisme. C'est pourquoi nous disons que cet acte confirme de la bonne santé des relations entre nos deux pays", a déclaré le ministre Albert Mabri Toikeusse.. C.M.
Lire l'article original : http://lepatriote.net/lpX3.asp?action=lire&rname=Sommaire&id=8885


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