Primalan®
1 - DÉNOMINATION DU MEDICAMENT
- Primalan® 10 mg, comprimé sécable ;
- Primalan® 5 mg, comprimé sécable ;
- Primalan® sirop.
2 - COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Primalan® 10 mg, comprimé sécable. Boîte de 14.
Pour un comprimé sécable :
Méquitazine : 10 mg.
Primalan® 5 mg, comprimé sécable. Boîte de 14.
Pour un comprimé sécable :
Méquitazine : 5 mg.
Excipient à effet notoire : lactose.
Primalan® sirop
Pour 60 ml de sirop :
Une cuillère-mesure de 2,5 ml contient 1,25 mg de méquitazine.
Excipient à effet notoire : parahydroxybenzoate de méthyle (E218), parahydroxybenzoate de propyle (E216), saccharose.
3 - FORME PHARMACEUTIQUE
- Primalan® 10 mg, comprimé sécable, Primalan® 5 mg, comprimé sécable : comprimé sécable
- Primalan® sirop : sirop.
4 - DONNÉES CLINIQUES
4.1 Indications thérapeutiques
Traitement symptomatique des manifestations allergiques : Rhinite allergique, Conjonctivite, Urticaire.
4.2 Posologie et mode d'administration
Primalan® 10 mg, comprimé sécable, Primalan® 5 mg, comprimé sécable
Posologie
STRICTEMENT RESERVE A L'ADULTE.
Adulte
10 mg par jour en 1 ou 2 prises :
- soit 1 comprimé le soir ;
- soit 1/2 comprimé matin et soir.
Il peut être souhaitable de privilégier les prises vespérales en raison d'un éventuel effet sédatif de la méquitazine chez certains sujets plus sensibles (sujets âgés).
Population pédiatrique
Primalan® 10 mg, comprimé sécable ne doit pas être utilisé chez les enfants en raison de problème de sécurité : les comprimés dosés à 10 mg ne sont pas adaptés à l'enfant.
Primalan® 5 mg, comprimé sécable ne doit pas être utilisé chez les enfants âgés de 0 à moins de 6 ans en raison des risques de fausse route avec les formes comprimés.
Primalan® sirop
Posologie
RESERVE A L'ADULTE ET A L'ENFANT DE PLUS DE 2 ANS.
Une cuillère-mesure de 2,5 ml contient 1,25 mg de méquitazine.
La dose quotidienne est :
- chez les sujets de moins de 40 kg de poids corporel : une cuillère-mesure de 2,5 ml (1,25 mg) par 5 kg de poids corporel,
- chez les sujets de plus de 40 kg de poids corporel : 8 cuillères-mesure de 2,5 ml (1,25 mg).
La dose quotidienne sera répartie en une ou deux prises par jour. Il peut être souhaitable de privilégier les prises vespérales, dans le cas de la rhinite allergique, en raison d'un éventuel effet sédatif de la méquitazine chez certains sujets plus sensibles (enfants, sujets âgés).
Mode d'administration
Voie orale.
4.3 Contre-indications
- Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients ;
- Allaitement ;
- Traitement concomitant par un médicament connu pour allonger l'intervalle QT ;
- Patients présentant un syndrome du QT long congénital ;
- Patients ayant un allongement connu ou suspecté de l'intervalle QT ou un déséquilibre électrolytique, en particulier une hypokaliémie ;
- Bradycardie cliniquement significative ;
- Antécédents d'agranulocytose liés à la prise de phénothiazines ;
- Risque de glaucome par fermeture de l'angle ;
- Risque de rétention urinaire liée à des troubles urétro-prostatiques.
4.4 Mises en garde spéciales et précautions d'emploi
Mises en garde spéciales
- Primalan® est un racémique dont l'énantionmère L (lévoméquitazine), a montré, lors d'une étude clinique spécifique avec électrocardiogramme, un allongement significatif de l'intervalle QT, en particulier chez le métaboliseur lent du cytochrome P-450 2 D6 (CYP2D6). L'utilisation de Primalan® doit, dans ces conditions, être prudente au-delà de dix jours en raison d'un risque d'accumulation de l'énantionmère L (lévoméquitazine) ;
- Primalan® doit être déconseillée chez les patients connus comme étant des métaboliseurs lents du cytochrome P-450 2 D6 (CYP2D6) ou prenant des médicaments inhibiteurs du CYP2D6 (paroxétine, fluoxétine, bupropion, duloxétine, terbinafine, cinacalcet) (voir rubrique 4.5) ;
- Par analogie avec la cinétique de la lévoméquitazine, des concentrations sanguines élevées chez ces patients peuvent induire un risque d'allongement du QT Compte tenu de ce risque, la prise de méquitazine avec la méthadone, certains neuroleptiques et certains antiparasitaires est déconseillée ;
- La prise de ce médicament est déconseillée avec des boissons alcoolisées et des médicaments contenant de l'alcool ;
- La prise de ce médicament est déconseillée avec l'oxybate de sodium, en raison du risque de majoration de la dépression du système nerveux central. En cas de persistance ou d'aggravation des symptômes, la conduite thérapeutique devra être réévaluée ;
- Des cas d'agranulocytoses ont été décrits avec les phénothiazines. Il convient d'avertir le patient qu'en cas d'apparition de fièvre ou d'une infection sous traitement, il doit rapidement consulter un médecin ;
- En cas de modifications franches de l'hémogramme, le traitement devra être interrompu ;
- Ce médicament contient du « Parahydroxybenzoate » et peut provoquer des réactions allergiques (éventuellement retardées) ;
- Ce médicament contient du saccharose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou un déficit en sucrase-isomaltase.
Précautions d'emploi
La méquitazine doit être utilisée avec prudence :
- Chez le sujet âgé, du fait d'une plus grande sensibilité à la sédation ;
- En cas d'insuffisance hépatique sévère, en raison du risque de diminution de la clairance et d'accumulation de la méquitazine ;
- Chez les sujets épileptiques en raison de la possibilité d'abaissement du seuil épileptogène connue avec les phénothiazines.
4.5 Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions
Médicaments susceptibles de donner des torsades de pointes
Ce trouble du rythme cardiaque grave peut être provoqué par un certain nombre de médicaments, antiarythmiques ou non. L'hypokaliémie (voir médicaments hypokaliémiants) est un facteur favorisant, de même que la bradycardie (voir médicaments bradycardisants) ou un allongement préexistant de l'intervalle QT, congénital ou acquis.
Les médicaments concernés sont notamment des antiarythmiques de classes la et Ill, certains neuroleptiques. Pour le dolasétron, l'érythromycine, la spiramycine et la vincamine, seules les formes administrées par voie intraveineuse sont concernées par cette interaction.
L'utilisation d'un médicament torsadogène avec un autre médicament torsadogène est contre-indiquée en règle générale. Toutefois, certains d'entre eux, en raison de leur caractère incontournable, font exception à la règle, en étant seulement déconseillés avec les autres torsadogènes.
Il s'agit de la méthadone, des antiparasitaires (chloroquine, halofantrine, luméfantrine, pentamidine) et des neuroleptiques. Cependant, le citalopram, l'escitalopram, la dompéridone et l'hydroxyzine restent contre-indiqués avec tous les torsadogènes.
Associations contre-indiquées
+ Médicaments torsadogènes (sauf antiparasitaires et neuroleptiques susceptibles d'entraîner des torsades de pointes et la méthadone, voir «associations déconseillées») : amiodarone, arsénieux, arténimol (dihydroartémisinine), bépridil, citalopram, cisapride, diphémanil, disopyramide, dofétilide, dolasétron intraveineux, dompéridone, dronédarone, érythromycine intraveineuse, escitalopram, hydroquinidine, hydroxyzine, ibutilide, mizolastine, moxifloxacine, pipéraquine, prucalopride, quinidine, sotalol, spiramycine intraveineuse, torémifene, vandétanib, vincamine intraveineuse).
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Associations déconseillées
- + Antiparasitaires susceptibles de donner des torsades de pointes (chloroquine, halofantrine, luméfantrine, pentamidine) : Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Si cela est possible, interrompre l'un des deux traitements. Si l'association ne peut être évitée, contrôle préalable du QT et surveillance ECG monitorée ;
- + Méthadone : Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes ;
- + Neuroleptiques susceptibles de donner des torsades de pointes (amisulpride, chlorpromazine, cyamémazine, dropéridol, fluphenazine, flupentixol, halopéridol, lévomépromazine, pimozide, pipampérone, pipotiazine, sertindole, sulpiride, sultopride, tiapride, zuclopenthixol) : Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes ;
- + Paroxétine, fluoxétine : Risque de majoration des effets indésirables de la méquitazine, par inhibition de son métabolisme par la paroxétine ou la fluoxétine ;
- + Bupropion : Risque de majoration des effets indésirables de la méquitazine, par inhibition de son métabolisme par le bupropion ;
- + Duloxétine : Risque de majoration des effets indésirables de la méquitazine, par inhibition de son métabolisme par la duloxétine ;
- + Cinacalcet : Risque de majoration des effets indésirables de la méquitazine, par inhibition de son métabolisme par le cinacalcet ;
- + Terbinafine : Risque de majoration des effets indésirables de la méquitazine, par inhibition de son métabolisme par la terbinafine ;
- + Alcool : Majoration par l'alcool de l'effet sédatif de la méquitazine. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuse la conduite de véhicules et l'utilisation de machines. Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool ;
- + Oxybate de sodium :Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
- + Anagrelide : Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Surveillance clinique et électrocardiographique pendant l'association ;
- + Bêta-bloquants dans l'insuffisance cardiaque (bisoprolol, carvédilol, métoprolol, nébivolol) : Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Surveillance clinique et électrocardiographique ;
- + Bradycardisants : Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Surveillance clinique et électrocardiographique ;
- + Azithromycine, clarithromycine, roxithromycine : Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Surveillance clinique et électrocardiographique pendant l'association ;
- + Ciprofloxacine, levofloxacine, norfloxacine : Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Surveillance clinique et électrocardiographique pendant l'association ;
- + Hypokaliémiants (diurétiques hypokaliémiants, seuls ou associés, des laxatifs stimulants, des glucocorticoides, du tétracosactide et de l'amphotéricine B (par voie intraveineuse)) : Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Corriger toute hypokaliémie avant d'administrer le produit et réaliser une surveillance clinique, électrolytique et électrocardiographique ;
- + Ondansétron : Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Surveillance clinique et électrocardiographique pendant l'association.
Associations à prendre en compte
- + Médicaments atropiniques : Antidépresseurs imipraminiques, la plupart des antihistaminiques H1 atropiniques, antiparkinsoniens anticholinergiques, antispasmodiques atropiniques, disopyramide, neuroleptiques phénothiaziniques ainsi que clozapine : Addition des effets indésirables atropiniques à type de rétention urinaire, poussée aiguë de glaucome constipation, sécheresse de la bouche, etc ;
- + Médicaments sédatifs : Dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution), neuroleptiques, barbituriques, benzodiazépines, anxiolytiques autres que les benzodiazépines (par exemple le méprobamate), hypnotiques, des antidépresseurs sédatifs (amitriptyline, doxépine, miansenne, mirtazapine, trimipramine), des antihistaminiques H1 sédatifs, antihypertenseurs centraux, baclofène et thalidomide
Majoration des effets dépresseurs du système nerveux central. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
4.6 Fertilité, grossesse et allaitement
Grossesse
Les études effectuées chez l'animal sont insuffisantes pour permettre de conclure concernant la toxicité sur la reproduction. En clinique, il n'existe pas actuellement de données suffisamment pertinentes pour évaluer un éventuel effet malformatif ou fœtotoxique de la méquitazine lorsqu'elle est administrée pendant la grossesse.
Chez les nouveau-nés de mères traitées au long cours par de fortes posologies de médicaments anticholinergiques ont été rarement décrits des signes liés aux propriétés atropiniques (distension abdominale, ileus méconial, retard à l'émission du méconium, difficulté de la mise en route de l'alimentation, tachycardie, troubles neurologiques...).
Compte-tenu de ces données, l'utilisation de Primalan® n'est pas recommandée pendant la grossesse et chez les femmes en âge de procréer n'utilisant pas de contraception. Si l'administration de ce médicament a eu lieu en fin de grossesse, il semble justifié d'observer une période de surveillance des fonctions neurologiques et digestives du nouveau-né.
Allaitement
Le passage de la méquitazine/ses métabolites dans le lait maternel n'est pas connu. Compte tenu des possibilités de sédation ou d'excitation paradoxale du nouveau-né, et des risques d'apnée du sommeil évoqués avec les phénothiazines, un risque pour les nouveau-nés/nourrissons allaités ne peut être exclu. La méquitazine est contre-indiqué en cas d'allaitement.
4.7 Effet sur l'aptitude à la conduite et l'utilisation de machines
Primalan® a une influence importante sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. L'attention est appelée, notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur les risques de somnolence attachés à l'emploi de ce médicament, surtout en début de traitement. Ce phénomène est accentué par la prise de boissons alcoolisées ou de médicaments contenant de l'alcool. Il est préférable de commencer le traitement le soir.
4.8 Effets indésirables
Les effets indésirables suivants, classés par système organe, ont été rapportés (fréquence non connue).
Affections du système immunitaire
Choc anaphylactique.
Affections psychiatriques
- Hallucinations en particulier chez les sujets âgés ;
- Nervosité.
Affections du système nerveux
- Sédation ou somnolence plus marquée en début de traitement ;
- Confusion mentale en particulier chez les sujets âgés ;
- Agitation ;
- Excitation ;
- Insomnie ;
- Dyskinésie aiguë ;
- Des cas de syndrome extrapyramidal ont été rapportés avec les phénothiazines.
Affections oculaires
- Troubles de l'accommodation ;
- Mydriase.
Affections cardiaques
- Tachycardie ;
- Une publication a rapporté une observation de torsades de pointes chez un patient présentant un syndrome du QT long congénital au cours d'un traitement associant la méquitazine et un macrolide.
Affections gastro-intestinales
- Sécheresse de la bouche ;
- Constipation.
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
- Réactions de photosensibilisation ;
- Erythème ;
- Eczéma ;
- Prurit ;
- Purpura ;
- Urticaire ;
- Oedème de Quincke.
Affections du rein et des voies urinaires
Risque de rétention urinaire.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration.
4.9 Surdosage
En cas de surdosage, une surveillance symptomatique générale, avec monitorage cardiaque, incluant intervalle QT et rythme cardiaque pendant 48 heures, est recommandée.
Risque de convulsions, surtout chez l'enfant. Troubles de la conscience, coma.
Traitement symptomatique en milieu spécialisé.
5 - PROPRIÉTÉS PHARMACOLOGIQUES
5.1. Propriétés pharmacodynamiques
Classe pharmacothérapeutique : ANTIHISTAMINIQUE À USAGE SYSTÉMIQUE, code ATC : RR06AD07.
La méquitazine est un antihistaminique H1 phénothiazinique qui se caractérise par :
- un effet sédatif d'origine histaminergique et adrénolytique centrale, qui est moindre que celui des autres antihistaminiques H1 de première génération. L'absence de sédation a été mise en évidence à la dose de 5 mg sur un effectif limité de volontaires sains. Elle pourrait ne pas se vérifier chez certains sujets plus sensibles (sujets âgés). La méquitazine est habituellement non sédative à la posologie de 5 mg, mais la marge thérapeutique est faible, car elle est sédative à 10 mg ;
- un effet anticholinergique à l'origine d'effets indésirables périphériques :Les antihistaminiques ont en commun la propriété de s'opposer, par antagonisme compétitif aux effets de l'histamine.
5.2. Propriétés pharmacocinétiques
Absorption
L'absorption de la méquitazine est rapide.
Distribution
Le volume apparent de distribution a une valeur élevée, traduisant une très forte diffusion de la méquitazine vers les milieux extravasculaires
Biotransformation
La biotransformation constitue la voie d'élimination essentielle du produit.
Élimination
La demi-vie apparente d'élimination, après prises répétées, est de 18 heures. L'excrétion de la méquitazine et de ses métabolites se fait principalement par voie biliaire. L'excrétion urinaire de la méquitazine inchangée est très faible.
5.3. Données de sécurité précliniques
Les données non cliniques issues des études conventionnelles de toxicologie en administration répétée et génotoxicité n'ont pas révélé de risque particulier pour l'homme. Dans les études de toxicologie en administration répétée des effets n'ont été observés qu'à des expositions considérées comme suffisamment supérieures à l'exposition maximale observée chez l'homme, et ont peu de signification clinique. Les études des fonctions de reproduction conduites avec la méquitazine n'ont pas mis en évidence d'effet sur la fertilité des mâles et des femelles.
Concernant l'embryo-toxicité et le développement post natal, les données chez l'animal sont insuffisantes pour évaluer le risque chez l'humain.
6 - DONNEES PHARMACEUTIQUES
6.1. Liste des excipients
Sans objet.
6.2. Incompatibilités
Sans objet.
6.3. Durée de conservation
Primalan® 10 mg, comprimé sécable
2 ans.
Primalan® 5 mg, comprimé sécable
3 ans.
6.4. Précautions particulières de conservation
Primalan® 10 mg, comprimé sécable
A conserver à l'abri de la lumière.
Primalan® 5 mg, comprimé sécable
A conserver à une température inférieure à 25°C et à l'abri de la lumière.
Primalan® sirop
A conserver à l'abri de la lumière.
6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur
Primalan® 10 mg, comprimé sécable
14 comprimés sous plaquettes thermoformées (PVC/Aluminium).
Primalan® 5 mg, comprimé sécable
14 comprimés sous plaquettes thermoformées (poly (chlorure de vinyle)/Aluminium).
Primalan® sirop
60 ml en flacon (verre teinté) avec une cuillère-mesure de 2,5 ml.
6.6. Précautions particulières d'élimination et de manipulation
Pas d'exigences particulières.
Tout produit non-utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.
7 - TITULAIRE DE L'AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
PIERRE FABRE MEDICAMENT
45, PLACE ABEL GANCE 92100 BOULOGNE France.
8. NUMERO(S) D'AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
Primalan® 10 mg, comprimé sécable
34009 339 583 2 9: 14 comprimés sous plaquettes thermoformées (PVC/Aluminium).
Primalan® 5 mg, comprimé sécable
34009 318 156 8 6: 14 comprimés sous plaquettes thermoformées (poly (chlorure de vinyle)/ Aluminium).
Primalan® sirop
3400932636808 : 60 ml en flacon (verre teinté) + cuillère-mesure.
9 - CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE
Liste I.
INFORMATION MEDICALE ET SCIENTIFIQUE
PIERRE FABRE MEDICAMENT TUNISIE Immeuble Horizon – Rue du Lac Winnipeg – Les Berges du Lac – 1053 – Tunis – TUNISIE. Tél : +216 71 161 400, +221 33 869 62 99. Fax : +216 71 861 363.
PHARMACOVIGILANCE :
+216 24 959 066, +216 71 161 400.
9. DATE DE RÉVISION DU TEXTE
Janvier 2019.
Dernière mise à jour de cette page
20/03/2020.