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Revue de presse scientifique de APIDPM Santé tropicale


Kératoconjonctivite vernale

Bruno Mortemousque - La revue du praticien - (Actualités) - France - html - (Source : https://www.larevuedupraticien.fr/article/keratoconjonctivite-vernale-0?emst=n1NY6xwSiK_33320_4567612_7#xtor=EREC-1-[NL_Actu]-20250605)

rapportBien que rare, cette pathologie peut entraîner des complications oculaires, voire une cécité si elle n’est pas reconnue et traitée rapidement. Sa prise en charge est délicate, avec un risque iatrogène important. Cette fiche aborde les signes d’appel, les diagnostics différentiels, les comorbidités et les grandes lignes du traitement.

La kératoconjonctivite vernale est une affection rare, avec une prévalence de 1 à 5/10 000.1 Elle semble plus fréquente sous des climats chauds et ensoleillés, le rayonnement ultraviolet (UV) agissant comme un facteur déclenchant des poussées. Cela explique une fréquence supérieure des atteintes dans les régions du sud de l’hémisphère Nord. Elle touche plus particulièrement les enfants et pose de réels problèmes aux patients et à leurs familles.

De quoi s’agit-il  ?

La kératoconjonctivite vernale fait partie des atteintes allergiques oculaires. Celles-ci regroupent les conjonctivites médiées par les immunoglobulines de type E (IgE), les kératoconjonctivites atopiques, les kératoconjonctivites vernales et les blépharoconjonctivites de contact (eczéma de contact).

L'appellation « kératoconjonctivite » signe à la fois une atteinte conjonctivale et une atteinte cornéenne responsable des signes et symptômes de gravité qui la définissent. Contrairement aux conjonctivites allergiques, la kératoconjonctivite vernale peut induire des baisses d'acuité visuelle définitives, soit par les atteintes cornéennes et l'amblyopie qu'elles provoquent, soit par la pathogénicité des corticoïdes qu'elle nécessite le plus souvent pour sa prise en charge.

La physiopathologie est complexe. Elle fait intervenir une réponse de type cellulaire (lymphocytes T et éosinophiles) plus ou moins associée à un mécanisme IgE-médié (lymphocytes B, mastocytes et IgE spécifiques), ainsi qu'à des facteurs génétiques et hormonaux. Ainsi, la concentration observée des androgènes circulantes chez les sujets atteints est inférieure à celle des sujets sains, suggérant un rôle de ces hormones dans sa pathogénie ou sa gravité...

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