28/04/2006 - Albayane - Maroc
«Nous avons moins tendance à immobiliser les patients», nous confirme le Pr Youenn Lajat, chef du service de neurochirurgie et du centre anti-douleur au CHU de Nantes, dans l’Ouest de la France. «L’immobilisation entraîne des contraintes, notamment sur certains muscles qui s’atrophient faute d’être utilisés», poursuit-il.
Résultat, en présence d’une lombalgie aiguë le repos prolongé favoriserait le passage à la chronicité. Voilà pourquoi la prise en charge n’est désormais plus centrée sur les seuls médicaments. Elle est aussi fonctionnelle. Grâce notamment à des exercices visant à renforcer les muscles des parties du corps que le patient avait perdu l’habitude d’utiliser.

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