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Médecine d'Afrique Noire

Médecine d'Afrique Noire N° 5403 - Mars 2007

Médecine d'Afrique Noire

N° 5403 - Mars 2007

Editeur : APIDPM Santé tropicale
Langue(s) de publication : Français
Edition papier : ISSN 0465-4668
Edition électronique : ISSN 2490-9971
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Il y a actuellement 2393 articles.


Archives (par année de publication)

Sommaire du N° 5403 - Mars 2007

Professeur Ibrahima Seck La prévalence de la bilharziose urinaire et ses facteurs de risque en milieu scolaire rural à Fatick, au Sénégal
I. SECK, A. FAYE, B. GNING, A.TAL-DIA - Sénégal - pages 125-131


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Professeur Ibrahima Seck La prévalence de la bilharziose urinaire et ses facteurs de risque en milieu scolaire rural à Fatick, au Sénégal La prévalence de la bilharziose urinaire et ses facteurs de risque en milieu scolaire rural à Fatick, au Sénégal est évalué 2 étoiles

Auteurs : I. SECK, A. FAYE, B. GNING, A.TAL-DIA - Sénégal
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5403 - Mars 2007 - pages 125-131


Résumé

La bilharziose, deuxième maladie parasitaire après le paludisme, constitue une des grandes endémies majeures qui sévissent au Sénégal. La présente étude est une enquête transversale descriptive et analytique. L'objectif général était d'étudier la prévalence de la bilharziose urinaire et de ses facteurs de risque en milieu scolaire rural, à Fatick, au Sénégal.

L'enquête a été effectuée du 26 mai au 6 juin 2005 dans 53 écoles primaires élémentaires. Un questionnaire était administré aux élèves puis un échantillon d'urine systématique prélevé en vue de la réalisation du culot urinaire. Au total, 900 élèves ont été inclus dans l'étude. La moyenne d'âge était de 12,79 ans [12,70-12,90 ans] avec un écart-type de 1,38. Le sex-ratio (M/F) était égal à 0,98.

L'examen du culot urinaire a révélé une prévalence globale de 30,2 % de bilharziose urinaire dans la population d'étude. Parmi les facteurs de risque étudiés, on a trouvé une prévalence de la bilharziose urinaire plus élevée chez les enfants de sexe masculin qui fréquentaient les mares et qui présentaient une hématurie macroscopique (p < 0.05). Par contre, la méconnaissance du mode de transmission et des signes cliniques de la bilharziose urinaire n'était pas un facteur déterminant (p > 0.05) même si la prévalence de la bilharziose était plus élevée chez les enfants qui ignoraient le mode de transmission et les signes cliniques. L'étude a aussi révélé une différence significative de la prévalence de la bilharziose entre les élèves hématuriques et les élèves sans hématurie : 46,6 % contre 18,8 % (p < 0,05, OR = 3.75 [2.79 < OR < 5.07]).

Le traitement de tous les cas de bilharziose confirmée, l'IEC dans les communautés et dans les écoles, pour réduire la fréquentation des mares surtout aux heures chaudes ont été les principales recommandations de l'étude.




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Efficacité thérapeutique de la chloroquine en Côte d’Ivoire (1999 - 2001)
M. KONE, V. DJOHAN, W. YAVO, A. BAMBA, R. KASSI, P. BARRO-KIKI, E.I MENAN, J. OUHON, L.K. PENALI, A. ASSOUMOU - Côte d'Ivoire - pages 133-137


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Efficacité thérapeutique de la chloroquine en Côte d’Ivoire (1999 - 2001) Efficacité thérapeutique de la chloroquine en Côte d’Ivoire (1999 - 2001) est évalué 1 étoiles

Auteurs : M. KONE, V. DJOHAN, W. YAVO, A. BAMBA, R. KASSI, P. BARRO-KIKI, E.I MENAN, J. OUHON, L.K. PENALI, A. ASSOUMOU - Côte d'Ivoire
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5403 - Mars 2007 - pages 133-137


Résumé

Une enquête épidémiologique sur le paludisme a été réalisée d'août 1999 à juin 2001 dans 11 villes de la Côte d'Ivoire. 2422 enfants de moins de 5 ans et consultant pour suspicion de paludisme ont été recrutés selon les critères de 14 jours de l'OMS. 733 d'entre eux ont été inclus dans l'étude.
La chloroquine a été administrée à la dose de 25 mg/kg de chloroquine base sur trois jours aux sujets inclus. L'efficacité thérapeutique de ce médicament a été appréciée à travers des contrôles cliniques réalisés aux jours 1, 2, 3, 7 et 14 ainsi que des contrôles parasitologiques aux jours 1, 3, 7 et 14.
Notre étude a donné une prévalence palustre globale de 52,1 % [intervalle de confiance (IC) à 95 % : 43,41- 60,79 ], les taux extrêmes étant 88,9 % et 37,9 %. Le taux de réponse clinique adéquate (RCA) était de 82,3 % et la moyenne des échecs thérapeutiques (ET) était de 17,7 % [IC à 95 % : 14,9- 20,5] avec 8,9 % d'échec thérapeutique précoce (ETP) et 8,9 % d'échec thérapeutique tardif (ETT).
Le taux élevé d'échec thérapeutique appuyé par des taux au-delà du seuil tolérable observés au sud-ouest du pays ont contribué entre autres facteurs, au remplacement de ce médicament de première intention par l'amodiaquine et l'association sulfadoxine-pyriméthamine.




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Diagnostic clinique présomptif du paludisme : part réelle de la maladie
E.I.H. MENAN, W. YAVO, S.S.A. OGA, P.C. KIKI-BARRO, R.R. KASSI, J.B. EVI, L. EWUSSI, M. KONE - Côte d'Ivoire - pages 139-144


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Diagnostic clinique présomptif du paludisme : part réelle de la maladie Diagnostic clinique présomptif du paludisme : part réelle de la maladie est évalué 1 étoiles

Auteurs : E.I.H. MENAN, W. YAVO, S.S.A. OGA, P.C. KIKI-BARRO, R.R. KASSI, J.B. EVI, L. EWUSSI, M. KONE - Côte d'Ivoire
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5403 - Mars 2007 - pages 139-144


Résumé

Objectif : Déterminer la proportion de sujets parasités après un diagnostic clinique présomptif de paludisme posé par des cliniciens à Abidjan, Côte d'Ivoire.
Méthodes : De février à août 2002, 650 patients de tout âge pour lesquels il a été posé un diagnostic présomptif du paludisme dans des formations sanitaires urbaines (FSU) de la ville d'Abidjan (une FSU par commune) ont bénéficié d'un examen parasitologique du sang pour la recherche de Plasmodium par la technique de la goutte épaisse et du frottis sanguin.
Résultats : Les signes cliniques les plus fréquents étaient la fièvre (84,2 %) l'anorexie (54 %), les céphalées (53,7 %), l'asthénie (52,8 %), les courbatures (38,5 %), les vomissements (35,8%) et les frissons (30,3 %). 48 % des patients avaient pris des antipaludiques avant l'examen avec 44,3 % de traitement curatif et 3,7 % de traitement prophylactique et des posologies incorrectes respectivement de 51 % et 66,7 %. Seuls 29,1 % des patients avaient une goutte épaisse et/ou un frottis sanguin positifs. Plasmodium falciparum a été la seule espèce plasmodiale identifiée.
Conclusion : Plus de 70 % des patients pour lesquels l'on pose un diagnostic clinique présomptif de paludisme ne sont pas parasités. Il parait impératif, d'un point de vue médical et économique, d'associer au diagnostic présomptif une confirmation biologique pour éviter des erreurs de diagnostics et des traitements antipaludiques inutiles.




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Extraversion urbaine et encadrement sanitaire au Gabon
A. MOUBELE - Gabon - pages 145-155


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Extraversion urbaine et encadrement sanitaire au Gabon Extraversion urbaine et encadrement sanitaire au Gabon est évalué 4 étoiles

Auteurs : A. MOUBELE - Gabon
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5403 - Mars 2007 - pages 145-155


Résumé

L'organisation de l'espace gabonais répond à un schéma tripolaire dominé par les villes de Libreville, Port-Gentil et Franceville, dont la croissance démographique reste très rapide. Ces principaux centres urbains se structurent d'autant mieux par leurs rapports avec l'étranger qu'ils s'articulent mal entre eux et avec le continent. Aussi, sont-ils considérés comme de véritables symboles de l'extraversion gabonaise. Cela a, bien sûr, des implications sur la mise en place de l'offre de soins et, au-delà, du système de santé lui-même. Cette étude tente de mesurer le dispositif sanitaire qu'un réseau urbain désarticulé, ouvert, plutôt tourné vers le global, peut générer.




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Professeur Côme Ebana Mvogo Les céphalées dans les amétropies
EBANA MVOGO C., ELLONG A., BELLA A.L., LUMA H., NYAME DIPEPA E. - Cameroun - pages 156-160


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Professeur Côme Ebana Mvogo Les céphalées dans les amétropies Les céphalées dans les amétropies est évalué 2 étoiles

Auteurs : EBANA MVOGO C., ELLONG A., BELLA A.L., LUMA H., NYAME DIPEPA E. - Cameroun
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5403 - Mars 2007 - pages 156-160


Résumé

Introduction : Le but de ce travail est d'étudier les caractéristiques des céphalées associées aux amétropies afin de contribuer à la compréhension de leur expression clinique et portant à l'amélioration de leur prise en charge.
Matériel et méthodes : Il s'agit d'une étude prospective qui s'est déroulée dans le service d'ophtalmologie de l'Hôpital Général de Douala de juillet 2005 à janvier 2006. Tous les patients de 5 à 39 ans venus consulter dans le service sans autre pathologie pouvant justifier les céphalées que l'amétropie ont été inclus dans l'étude. Nous avons évalué l'effet du port constant de la correction optique sur les céphalées.
Résultats : Nous avons colligé 279 cas sur 912 patients durant la période d'étude. La prévalence des céphalées est de 30,59 % dans cette population. Parmi eux, 68,10 % sont de sexe féminin et 31,90 % de sexe masculin. La moyenne d'âge est de 22,43 ans et la tranche d'âge la plus représentée est celle de 20 à 29 ans. Les élèves et les étudiants représentent 63,80 % de l'effectif. Le mode d'installation des céphalées est progressif dans 98,90 % des cas. L'effort de fixation, la lumière et la lecture sont les principaux facteurs déclenchants (92,83 %). Pour 2 patients sur 3, le repos et l'arrêt de l'effort visuel soulagent ou suppriment la douleur. Nous avons trouvé 158 astigmates (56,63 %), 117 hyper-métropes (41,94 %) et 4 myopes (1,43 %). Le délai moyen d'évolution favorable sous port de lunettes est de 2 semaines ± 2,5.
Conclusion : L'examen ophtalmologique est un temps capital dans l'exploration des céphalées. Il permet non seulement de déterminer l'amétropie, mais aussi d'éliminer les autres causes ophtalmologiques des céphalées et de contribuer au diagnostic de certaines affections neurologiques.




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Prise en charge chirurgicale des tumeurs ovariennes bénignes : à propos de 120 cas à Libreville
PITHER S., MAYI TSONGA S., DANKORO A., NDOMBI ONNAS I., OGOWET IGUMU N., KASIA JM - Gabon - pages 161-165


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Prise en charge chirurgicale des tumeurs ovariennes bénignes : à propos de 120 cas à Libreville Prise en charge chirurgicale des tumeurs ovariennes bénignes : à propos de 120 cas à Libreville est évalué 1 étoiles

Auteurs : PITHER S., MAYI TSONGA S., DANKORO A., NDOMBI ONNAS I., OGOWET IGUMU N., KASIA JM - Gabon
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5403 - Mars 2007 - pages 161-165


Résumé

Objectifs : Connaître la fréquence de la pathologie ovarienne opérée dans le service, la fréquence respective des deux voies d'abord (laparotomie et coelioscopie) dans la prise en charge des kystes ovariens et le type histologique le plus fréquent.
Matériel et Méthode : C'est une étude rétrospective faite à partir de 120 patientes porteuses d'une tumeur annexielle bénigne, unilatérale ou bilatérale, de nature kystique ou solide qui ont bénéficié d'un traitement chirurgical, conventionnel ou coelio-chirurgical. La période d'étude s'étend de janvier 2000 à décembre 2003. Le service de chirurgie gynécologique du Centre Hospitalier de Libreville a été le cadre de cette étude. Nous avons exclu les tumeurs borderline et tumeurs malignes de l'ovaire.
Résultats : La fréquence du traitement chirurgical des kystes ovariens a représenté 8 % des interventions gynécologiques. L'âge moyen a été de 28ans (extrêmes 17-64). La parité moyenne a été de 4 (extrêmes 0-10). 12 % de nos patientes avaient des antécédents de chirurgie pelvienne. 78 % (94/120) des kystes ont été opérés par laparotomie contre 22 % (26/120) par coelioscopie. On a noté aucune complication ni conversion au cours du traitement coelioscopique, aucune complication après laparotomie. Le type histologique le plus fréquent a été le cystadénome séreux. La durée moyenne de séjour a été de 2 jours (extrêmes j0-j3) pour la coelioscopie et de 6 jours pour laparotomie (extrêmes 5j-10j).
Conclusion : L'exérèse coelio chirurgicale des kystes de l'ovaire doit être une technique privilégiée par rapport à laparotomie en raison de ces nombreux avantages. Le caractère récidivant de cette pathologie fréquente chez la femme en période d'activité génitale nous recommande un traitement coelio-chirurgical dans la mesure du possible, afin d'éviter une augmentation des pelvis cicatriciels. Toutefois, la laparotomie serait indiquée pour des masses abdomino-pelviennes.




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Les grossesses non suivies. Pronostic obstétrical et néonatal
GANDZIEN P.C. - Congo-Brazzaville - pages 166-168


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Les grossesses non suivies. Pronostic obstétrical et néonatal Les grossesses non suivies. Pronostic obstétrical et néonatal est évalué 1 étoiles

Auteurs : GANDZIEN P.C. - Congo-Brazzaville
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5403 - Mars 2007 - pages 166-168


Résumé

Les grossesses non suivies représentent 2,66 %. Elles s'observent surtout chez les paucipares, les célibataires et chez les femmes de bas niveau socio-économique. L'accouchement est généralement eutocique mais on observe un taux élevé de prématuré (14%) avec mauvais Apgar. L'accouchement s'effectue souvent à domicile (9 %).




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Les perforations utérines au cours des avortements provoqués
N’GUESSAN K., DOUMBIA Y., EFFO N., KAKOU C., ADJOBY R, MIAN B., ANGOI V., BONI S. - Côte d'Ivoire - pages 169-173


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Les perforations utérines au cours des avortements provoqués Les perforations utérines au cours des avortements provoqués est évalué 1 étoiles

Auteurs : N’GUESSAN K., DOUMBIA Y., EFFO N., KAKOU C., ADJOBY R, MIAN B., ANGOI V., BONI S. - Côte d'Ivoire
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5403 - Mars 2007 - pages 169-173


Résumé

La perforation utérine est l'un des accidents majeurs des avortements provoqués clandestinement dans nos pays Africains. Ses conséquences sont lourdes sur le plan du pronostic obstétrical ultérieur et mettent lourdement en jeu le pronostic vital de la jeune femme. L'objectif de cette étude est de décrire les aspects épidémiologiques cliniques des perforations utérines observées au cours des avortements provoqués au CHU de Cocody et d'exposer la prise en charge réalisée.
Il s'agit d'une étude rétrospective descriptive d'une durée de 3 ans allant de janvier 1999 à décembre 2001 réalisée au service des urgences de Gynécologie.
Durant cette période, 117 cas de perforations utérines ont été diagnostiqués sur un total de 8726 patientes. La fréquence des perforations utérine est de 1,34 %. 8,03 % des avortements se compliquent en perforation utérine. L'âge des patientes varie entre 15 et 35 ans. La tranche d'âge de 16 à 20 ans est la plus représentée (44,44 %). Il s'agit de ménagère (35,04 %) et élève (32,48 %), célibataire (85,47 %), de niveau de vie modeste (70,94 %) et n'ayant aucune notion de contraception dans 88,03 % des cas.
La méthode de curetage était indiquée dans 62,39 % des cas, dans une clinique privée dans 65,81 % des cas. La douleur pelvienne (96,58 %) est le signe le plus constant. Dans 38,46 % des cas une hystérectomie avait été pratiquée.
Les perforations utérines constituent un accident assez grave et relativement fréquent en gynécologie.




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Caractéristiques cliniques de la séroprévalence à l’hépatite B et au VIH chez 248 diabétiques à Conakry en Guinée
NM BALDE, A CAMARA, K KOUROUMA, A KAKE, MM DIALLO, MK DIALLO - Guinée - pages 174-178


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Caractéristiques cliniques de la séroprévalence à l’hépatite B et au VIH chez 248 diabétiques à Conakry en Guinée Caractéristiques cliniques de la séroprévalence à l’hépatite B et au VIH chez 248 diabétiques à Conakry en Guinée est évalué 1 étoiles

Auteurs : NM BALDE, A CAMARA, K KOUROUMA, A KAKE, MM DIALLO, MK DIALLO - Guinée
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5403 - Mars 2007 - pages 174-178


Résumé

Contexte/Buts : Peu de données sont disponibles pour évaluer le niveau de risque sanguin pour les diabétiques en Afrique. Ce travail avait pour objet de déterminer la séroprévalence du VIH (virus de l'immunodéficience humaine), et de l'hépatite B chez les diabétiques suivis à Conakry (Guinée).
Méthodes : Les marqueurs sériques de l'infection par le virus de l'hépatite B (antigène HBs par la technique Elisa - Auszyme monoclonal) et du VIH (anticorps anti-VIH par la technique Elisa -ABBOTT HIV1/2 III G plus) ont été recherchés chez 248 diabétiques volontaires suivis dans le service d'Endocrinologie du CHU de Conakry.
Résultats : 248 patients (136 femmes et 112 hommes ; âge moyen : 55 ans) ont été examinés, 30 ont été trouvés séropositifs à l'hépatite B (n = 20 soit 8,06 %) et au VIH (n = 10 soit 4,03 %), soit une séroprévalence globale de 12,09 %. Les moyennes d'âges des patients, le sex-ratio, la fréquence de la polygamie, le type de diabète, les durées moyennes d'évolution connues du diabète, n'étaient pas statistiquement différents selon la présence ou non de marqueurs sériques d'infection.
Commentaires : La séropositivité au VIH et à l'hépatite B ne semble pas actuellement élevée chez les patients diabétiques en Guinée. Il convient cependant de rester vigilant en renforçant la prévention de la transmission nosocomiale et la protection du personnel car ceci doit être mis en perspective avec la progression attendue du nombre de diabétiques ayant accès aux soins en Guinée et avec l'intensification espérée du contrôle glycémique qui pourrait le rendre plus important.




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Participation communautaire et santé de la reproduction dans un lycée de Dakar (Sénégal)
NDIAYE P., BABOGUEL M., SECK I., NDIAYE N.M., TAL-DIA A. - Sénégal - pages 179-180


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Participation communautaire et santé de la reproduction dans un lycée de Dakar (Sénégal) Participation communautaire et santé de la reproduction dans un lycée de Dakar (Sénégal) est évalué 1 étoiles

Auteurs : NDIAYE P., BABOGUEL M., SECK I., NDIAYE N.M., TAL-DIA A. - Sénégal
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5403 - Mars 2007 - pages 179-180


Résumé

La santé de la reproduction (SR) constitue une préoccupation chez les adolescents souvent peu pris en charge et/ou mal informés. Pour améliorer leur accès à l'information et aux services relatifs à la SR, le programme “Focusing Ressources for Effective Schools Health” (FRESH) a été initié par la Banque Mondiale, l'UNESCO, l'OMS et l'UNICEF depuis 2000 à Dakar. Cette étude évalue le niveau de participation communautaire (PC) à ce programme au bout de deux années d'activités au niveau du lycée des Parcelles Assainies.




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