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Il y a beaucoup (trop ?) de génériques commercialisés en Afrique subsaharienne francophone.
Certains respectent les normes de qualité et de fabrication, d'autres non. Le laboratoire Bailly-Creat, héritier du savoir-faire et de l’expertise des deux grands laboratoires à l’origine de sa création, est connu pour son savoir-faire en matière de production pharmaceutique et parapharmaceutique. Certains des produits de Bailly-Creat, comme Pulmoserum, sont commercialisés en Afrique depuis plus de 100 ans.
Afin de comprendre quels sont les aspects qui vous importent le plus lorsque vous devez en prescrire un, Bailly-Creat vous invite à répondre à ce questionnaire sur les antalgiques.
Quels facteurs peuvent influencer la confiance et la préférence pour des produits génériques fabriqués en France et commercialisés par Bailly-Creat par rapport à ceux provenant d'un laboratoire asiatique inconnu, même si ce dernier respecte les normes de fabrication ?
Nous vous invitons à répondre à ce questionnaire afin de mieux comprendre vos besoins et vos préférences.
Toutes les réponses sont strictement confidentielles et aucune information personnelle n'est divulguée. Votre anonymat est préservé.
1901 : les frères Amour et Elysé Bailly reprennent la « Droguerie de Rome » et lancent leur propre officine, au 15 rue de Rome, la Grande Pharmacie Bailly.
1909 : Amour Bailly dépose le Pulmosérum, sirop antitussif à base de phosphogaïacolate de codéïne.
1910 : premières exportations de Pulmosérum vers l’Afrique et l’Asie.
1914 : pendant la 1ère guerre mondiale, la Pharmacie Bailly assure la distribution gratuite des produits pharmaceutiques aux médecins des hôpitaux civils et militaires.
1928 : le laboratoire modifie son intitulé en « Laboratoire A. Bailly Speab » affirmant sa vocation de fabrique de spécialités.
1935 : le laboratoire de l’officine est rebaptisé « A. Bailly et Compagnie » en hommage à Amour Bailly décédé en 1930.
1972 : création du laboratoire Creat, façonnier spécialisé dans la production de médicaments génériques destinés à l’exportation.
2002 : le Laboratoire Bailly, devenu indépendant de l’officine, fusionne avec le laboratoire Creat, se définissant comme « spécialiste du générique de qualité française ».
Laboratoires Bailly Creat
Lincomycine 500 mg, gélule.
Pour une gélule :
Lincomycine sous forme de Chlorhydrate de lincomycine : 500,00 mg
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
Gélule.
Elles procèdent de l'activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques de la lincomycine. Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu la lincomycine et de sa place dans l'éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.
Elles sont limitées aux infections dues aux germes définis comme sensibles :
Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l'utilisation appropriée des antibactériens.
VOIE ORALE
Afin d'obtenir une absorption optimale, il est conseillé de ne rien faire ingérer, excepté de l'eau, pendant une période de une à deux heures avant et après l'administration orale.
Des diarrhées graves et persistantes peuvent survenir pendant ou après un traitement par la lincomycine. Cette complication a également été décrite avec d'a&utres antibilotiques. Ces diarrhées sont parfois symptomatiques d'une colite pseudomembraneuse qui peut être mortelle. Une ou plusieurs toxines produites par les clostridia peuvent être une cause essentielle de ces colites. Toute diarrhée grave, survenant même plusieurs semaines après l'arrêt des médicaments, doit être à priori imputée au traitement. L'administration de produits favorisant la stase fécale doit alors être évitée.
Cette diarrhée impose l'arrêt du traitement, et les formes graves l'hospitalisation.
Il est recommandé de pratiquer un examen endoscopique. Les cas bénins présentant une altération légère de la muqueuse peuvent régresser par simple arrêt du traitement. Les cas modérés ou graves, outre un traitement symptomatique sous surveillance médicale stricte, justifient l'administration orale de vancomycine (chez l'adulte : 125 à 500 mg quatre fois par jour pendant 5 à 10 jours) ou à défaut de métronidazole (750 mg deux fois par jour pendant le même temps).
La lincomycine peut interférer sur le dosage des phosphatases alcalines de sérum. Les valeurs obtenues sont alors faussement élevées.
De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classes d'antibiotiques sont davantage impliquées : il s'agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines céphalosporines.
Il est préférable, par mesure de précautions, de ne pas utiliser la lincomycine au cours de la grossesse. En effet, bien que les données cliniques soient rassurantes, elles sont en un nombre limité et les données animales sont insuffisantes.
Compte tenu du profil de tolérance de ce médicament, l'allaitement est contre-indiqué en cas de traitement par ce médicament (cf. Contre-indications).
Sans objet.
Les principaux troubles digestifs rapportés ont été :
Neutropénie, leucopénie, agranulocytose, purpura thrombopénique ont été signalés. De rares cas d'anémie aplasique ou de pancytopénie ont été rapportés sans que la responsabilité de la lincomycine n'ait pu être rejetée.
Bien qu'aucune relation directe entre administration de lincomycine et dysfonctionnement hépatique n'ait pu être établie, quelques exemples d'ictères et de perturbation des fonctions hépatiques (transaminases) ont été signalés.
Sans objet.
La lincomycine est un antibiotique de la famille des lincosamides
Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes : S ≤ 2 mg/l et R > 8 mg/l
La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique.
Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue pour une espèce bactérienne, elle est indiquée dans le tableau ci-dessous :
| Catégories | Fréquence de résistance acquise en France (> 10%) (valeurs extrêmes) |
|---|---|
ESPÈCES SENSIBLESAérobies à Gram positif Aérobies à Gram négatif Anaérobies Autres |
ESPÈCES SENSIBLESAérobies à Gram positif Aérobies à Gram négatif Anaérobies Autres |
ESPÈCES RÉSISTANTESAérobies à Gram positif Aérobies à Gram négatif Anaérobies Autres |
ESPÈCES RÉSISTANTESAérobies à Gram positif Aérobies à Gram négatif Anaérobies Autres |
La lincomycine administrée per os est rapidement absorbée.
L'administration concomitante de nourriture conduit à une absorption plus lente et à un pic de concentration plasmatique réduit.
Après administration de 500 mg par voie orale, la concentration sérique maximale est obtenue au bout de 4 heures en moyenne. Elle varie entre 2 et 7 µg/ml.
La lincomycine se distribue largement dans tous l'organisme sans, semble-t-il, se concentrer dans un organe particulier.
La demi-vie est comprise entre 4 et 6 heures en moyenne.
La liaison aux protéines plasmatiques est de l'ordre de 70%. Le taux dans le LCR est faible (cf. Contre-indications)
La lincomycine passe la barrière placentaire.
Passage dans le lait maternel : la lincomycine est retrouvée dans le lait maternel à des concentrations de 0,5 à 2,4 µg/ml.
La diffusion dans l'os est excellente.
Le métabolisme de la lincomycine se situe au niveau du foie.
La lincomycine est excrétée par les urines et la bile, et est retrouvée dans les fèces.
L'excrétion biliaire est très importante, et les concentrations obtenues sont deux à six fois plus importantes que la concentration sanguine.
Elles diminuent en cas d'insuffisance hépatique.
L'excrétion urinaire varie de 1 à 31 % après dose orale unique de 500 mg (moyenne 4 %)
L'élimination dans les fèces est de 40 % de la dose ingérée.
Sans objet.
Stéarate de magnésium.
Composition de l'enveloppe de la gélule :
Sans objet.
3 ans.
Pas de précautions particulières de conservation.
Gélules sous plaquettes thermoformées (PVC/Aluminium).
Pas d'exigences particulières.
LABORATOIRE BAILLY-CREAT
Chemin de Nuisement
ZI des 150 Arpents
28509 VERNOUILLET - FRANCE
02/2010
Liste I
Dernière mise à jour de cette page : 09/11/2021

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