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publié dans Médecine d'Afrique francophone 5707 - Juillet 2010 - pages 379-388.
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Commentaire ajouté le 17/08/2010 par Monsieur Lucien Emmanuel Francky Ibata
La responsabilité est vraiment partagée en ce qui concerne les défis de la prise en charge thérapeutique des patients infectés par le VIH en Afrique subsaharienne. Ainsi, les gouvernements, les hauts cadres de santé, les agents sanitaires et la communauté ont à chacun leur rôle à jouer dans ce défis de prise en charge. Ainsi, passons vite à l'acte.
Commentaire ajouté le 08/09/2010 par Docteur Abdoulaye Diallo
Dommage que nos pays soient tributaires des « donneurs universels » pour l’exécution des activités liés au VIH/Sida. C’est le cas de mon pays, où la prise en charge des PVVIH connait des problèmes pour des questions que les techniciens de santé ne maitrisent point. Nos gouvernants doivent prendre des initiatives alternatives pour l’amélioration de la PEC de nos concitoyens et les techniciens à leur tour, doivent prendre les responsabilités qui sont les leurs pour la réussite des plans opérationnels en vue de l’atteinte des objectifs fixés.
Commentaire ajouté le 13/12/2010 par Docteur Marie-Yvonne Ndoundou-Nkodia
Les auteurs ont touché du doigt les difficultés de la prise en charge thérapeutique en Afrique. Le traitement ARV améliore la qualité de vie des PVVih et constitue aujourdh'ui un moyen de prévenir des nouvelles contaminations à partir des sujets porteurs du virus mais nous devons veiller à ce que la prise en charge soit perenne surtout avec le passage à l'échelle. Le suivi biologique est très important pour une prise en charge de qualité, le recours aux méthodes alternatives très contestées sous d'autres cieux n'est pas à envisager. Nos états disposent de ressources conséquentes pour permettre aux PVVih africains de bénéficier d'un suivi biologique de bonne qualité.
Commentaire ajouté le 26/01/2016 par Monsieur Yao Tsatsa
L'autre défi à relever maintenant par nos Etats est la prise en charge globale du VIH au seins des populations dites clé ç lzes professionnelles de sexe, les usagers de drogues, les détenus, les homosexuels, les corps habillés, les routiersà. Il est vrai que ce concept de populations clé reste un sujet à polémique dans nos Etats, mais il est aussi vrai que la prévalence du VIH est élevée dans ces populations et elles constituent un risque potentiel pour le succès des efforts fournis pour la réduction de la prévalence du VIH au sein de la population générale
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