Entamoeba coli, Endolimax nana, Giardia intestinalis Ascaris lumbricoïdes et Trichuris trichiura. La catégorie d'âge 15-25 ans était la plus touchée. Les sujets de sexe féminin étaient plus touchés que ceux de sexe masculin (p = 0,17). Le portage parasitaire était plus fréquent en saison humide qu’en saison sèche (p = 0,62). Les sujets non hospitalisés étaient plus parasités que les ceux qui étaient hospitalisés (0,0009). Ces résultats montrent que les parasitoses sont toujours endémiques d&'où la nécessité de développer des mesures et des stratégies de lutte efficaces.

" lang="fr" xml:lang="fr" /> Entamoeba coli, Endolimax nana, Giardia intestinalis Ascaris lumbricoïdes et Trichuris trichiura. La catégorie d'âge 15-25 ans était la plus touchée. Les sujets de sexe féminin étaient plus touchés que ceux de sexe masculin (p = 0,17). Le portage parasitaire était plus fréquent en saison humide qu’en saison sèche (p = 0,62). Les sujets non hospitalisés étaient plus parasités que les ceux qui étaient hospitalisés (0,0009). Ces résultats montrent que les parasitoses sont toujours endémiques d&'où la nécessité de développer des mesures et des stratégies de lutte efficaces.

" />

Ce site utilise des cookies afin d'améliorer la navigation et mesurer la fréquentation. Pour en savoir plus, cliquez ici

bannière promotionnelle

Médecine d'Afrique francophone

« Aspects épidémiologiques des parasitoses intestinales diagnostiquées au laboratoire de parasitologie-mycologie du Centre National Hospitalier de Fann, Dakar »

publié dans Médecine d'Afrique francophone 6007 - Juillet 2013 - 339-346.

Cet article est actuellement coté note(2,5 étoiles) par les abonnés de APIDPM Santé tropicale.

Consulté 4302 fois - Téléchargé 314 fois - Evalué 2 fois.

Retour


Notez cet article

Commentaire ajouté le 22/07/2013 par Monsieur Ibrahima Daffe

Excellente publication faite dans les règles de l'art


Commentaire ajouté le 23/07/2013 par Monsieur Ibrahim Sangaré

Très belle étude, Félicitations, cependant quelques coquilles si je ne me trompe pas E. hystolytica dispar au lieu de disipar, C. mesnili au lieu de messnili.
j'ai une question :
comment vous faites la diagnostic différentiel E. hystolytica et E. dispar en microscopie optique?


Commentaire ajouté le 23/07/2013 par Docteur Aboubacar Sidiboun Youla

Bravo Khadim, c'est une très belle etude


Commentaire ajouté le 23/07/2013 par Docteur Ange Landela

Bravo pour l'article et pourquoi cette différence pour les 2 sexes? Merci


photo Commentaire ajouté le 31/07/2013 par Monsieur Khadime Sylla

Merci pour les remarques et les encouragements.
Pour ce qui est de la différence observée entre les deux sexes, nous avons fait une étude descriptive qui a montré que la population d'étude était a prédominance féminine.
Pour le diagnostic différentiel entre E. hystolytica et E. dispar, s'il s'agit de formes végétatives le diagnostic différentiel peut se faire par la présence d'hématies pour E. hystolytica. Si non le diagnostic se fait à la biologie moléculaire.


Retour



CONTACTEZ-NOUS

Adresse

Téléphone

CARTE DU SITE

Revue MAF

Revue OST

Actualités

Rubriques spécialités

Webinaires

Espaces labos

Valid XHTML 1.0 Strict CSS Valide !