Contactez_nous La_santé_tropicale_sur_internet L'actualité de la santé tropicale Avril 2002
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Troisièmes journées médicales de l’hôpital Principal: L’explosion alarmante du diabète sucré - Le soleil - Sénégal - 20/04/02
Après le paludisme et la tuberculose, l’hôpital Principal de Dakar a encore choisi un autre “sérieux” problème de santé, en l’occurrence le diabète sucré, comme thème principal de la 3e édition de ses Journées médicales annuelles, placées sous le parrainage d’un illustre maître de la Faculté de Médecine et de la diabétologie, le Pr. Ahmédou Moustapha Sow. Lire
SIGNATURE DE CONVENTION : La Bicis au service de la médecine privée - Le sud - Sénégal - 20/04/02
La Banque Internationale pour le Commerce et l’Industrie du Sénégal(Bicis) a conclu avec le Syndicat des médecins privés du Sénégal, une convention d’octroi de crédits qui devrait favoriser largement l'exécution des besoins d'investissements des médecins privés et contribuer au développement du secteur. Lire
Epidémie de méningite : Les médicaments et consommables mis à la disposition des directions régionales de la Santé - Sidwaya - Burkina Faso- 19/04/02
Dans le cadre des mesures prises en vue de maîtriser l'épidémie de méningite qui sévit au Burkina Faso depuis le mois de janvier 2002, des produits pharmaceutiques dont des médicaments et des produits utilisés pour le traitement adjuvant ont été mis à la disposition des directions régionales de la Santé pour leurs formations sanitaires respectives. Ces produits ont été envoyés entre le 1er Janvier et le 14 avril 2002 aux régions sanitaires pour les districts sanitaires en fonction de la situation épidémiologique du moment. Le traitement d'urgence est le chloramphénicol huileux 500 mg, à raison de 3 grammes (soit 6 ampoules) par malade en une seule injection. Habituellement cela est suffisant pour guérir le malade. Un total de 112 750 ampoules de chloramphénicol huileux 500 mg a été mis à la disposition des régions sanitaires, soit une quantité suffisante pour traiter 18 791 malades avec une seule injection. Nous avons à ce jour enregistré un cumul de 10 206 malades sur l'ensemble des 53 districts sanitaires alors que les produits effectivement pré-positionnés permettent de prendre en charge et de façon gratuite, plus de 18 000 malades. Par ailleurs, 59 265 seringues de 10 CC et aiguilles, 20 188 sérums glucosés, salés, 48 150 ampoules d'ampicilline, 31 000 épicrâniennes, 7 245 perfuseurs, du liquide de Ringer, du coton, de l'alcool, des gants et bien d'autres produits ont été envoyés et utilisés par les agents de la santé pour la prise en charge gratuite des cas de méningite. Le ministère de la Santé saisit cette occasion pour féliciter tous les agents de santé pour leur engagement et leur esprit d'équipe qui ont permis aujourd'hui de maintenir le taux de décès à un niveau inférieur à 10% et de voir reculer la maladie. Jean-Bernard ZONGO DCPM/Santé
Démographie et santé : Les indicateurs de planification et de développement sont disponibles - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 19/04/02
Les représentants des Institutions de Coopération multilatérale et bilatérale, d’Institutions républicaines, les préfets de région, maires de la ville d’Abidjan et autres personnalités politiques et administratives ivoiriennes, n’ont pas voulu se faire conter l’événement qu’annonçaient des banderoles bien visibles, dans la salle de conférences de l’Ecole Nationale de Statistique et d’économie appliquée (ENSEA), à Cocody. “ Cérémonie de présentation des résultats de la deuxième enquête démographique et de santé de la Côte d’Ivoire. ” Par leur présence massive hier à l’ENSEA, les participants ont marqué l’intérêt qu’ils accordent aux statistiques d’une façon générale et à la mesure pour l’évaluation et la planification des actions de santé en faveur d’un mieux-être de la population ivoirienne. Lire
TRAVAILLEURS MUNICIPAUX DE LA SANTE : Le paiement des primes de motivation réclamé - Wal Fadjri - Sénégal - 19/04/02

Les travailleurs municipaux de la Santé sont préoccupés par le non-paiement de leurs primes de motivation. Pour se faire entendre des autorités, ils observent, depuis hier, un mouvement de grève d’avertissement de quarante-huit heures. Lire

M. Babacar Fall (rapporteur général de la conférence): “Nous avons l’ambition d’exprimer l’opinion de l’Afrique sur la santé de la reproduction” - Le soleil - Sénégal - 18/04/02
Une conférence internationale, ce sont des délégués débonnaires, pressés, attentifs, un secrétariat stressé et des rapporteurs sur le gril. Ces derniers travaillent avec ceux et celles qui travaillent le jour. Ils sont encore à l’œuvre quand tous les autres dorment du sommeil des justes. Babacar Fall et Mme Dorothée O’kinawa les rapporteurs généraux de la conférence, compensent leur manque de sommeil par un engagement sans faille. Nous avons tiré Babacar Fall, coordonnateur du GEEP et membre du Groupe de travail, de la salle des séances plénières pour lui arracher quelques mots. Ce rapporteur se pique aussi de politique de population quand il affirme, exprimant sans aucun doute l’opinion de tous les délégués, que “l’Afrique a l’ambition d’exprimer son opinion sur la santé de la reproduction”. Cela sonne comme un clou qu’on enfonce après les allocutions des vice-présidents du Kenya et de l’Ouganda, à l’ouverture de la conférence. Lire l'entretien
LUTTE CONTRE LA POLIO/JOURNÉES NATIONALES DE VACCINATION SYNCHRONISÉES : Pour des JNVS plus efficientes - L'union - Internetgabon.com - 18/04/02
L'atelier dont les travaux prennent fin cet après-midi, au siège du PNLS , élabore un certain nombre de points en vue d'améliorer les ratés de 2001, afin d'avoir en 2002 des JNVS plus efficientes. SAUF changement de dernière minute, les dates des 20-24 juin (premier passage) et 29 juillet-ler août (deuxième passage) ont été arrêtées, selon des informations fournies par le programme élargi de vaccination des journées nationales de vaccination synchronisées, édition 2002, dans notre pays. Lire
Mauritanie - Démarrage d’un cours sur le cancer du col de l’utérus : La prévention, une composante essentielle de la politique sanitaire - Mise en place d’un programme pour examiner 400 femmes atteintes - AMI - 18/04/02
Le dépistage précoce du cancer du col de l’utérus, constitue le thème central d’un cours de formation organisé par l’hôpital Cheikh Zayed de Nouakchott avec le concours de l’OMS et dont les travaux ont débuté mercredi à Nouakchott. La rencontre, qui durera quatre jours, a pour objectif de mettre en place un programme de recherches scientifiques qui s’étend sur deux ans et permettra l’examen de 4000 femmes atteintes par cette pathologie très fréquente chez les femmes en âge moyen. Lire
Sida: l’exemple du Sénégal - Le soleil - Sénégal - 18/04/02
Hier matin, des pays ont présenté leur expérience. Celle du Sénégal a été exposée par le Dr Karim Seck, du Conseil national de lutte contre le SIDA, qui représentait le ministre de la Santé et de la Prévention, le Pr. Awa Marie Coll Seck. Son intervention a porté sur “le partenariat avec le secteur public et les ONG dans la lutte contre l’expansion du SIDA”. Le Sénégal, a dit le Dr Seck, a rapidement réagi contre le VIH/SIDA. Aujourd’hui, la prévalence ne dépasse pas 1,4 % dans la population. C’est l’une des prévalences les plus basses en Afrique. Le Sénégal, au même titre que l’Ouganda, est cité en exemple, notamment par l’ONUSIDA pour ses succès et son approche dans la lutte pour le contrôle de la pandémie. Le gouvernement, qui est un partisan du “faire-faire”, reconnaît “le savoir-faire et le leadership des ONG”. Pour le Dr Karim Seck, le “succès de la réponse du Sénégal au VIH/SIDA est sans conteste la large implication des communautés et la société civile”. La préservation des acquis passera par “le renforcement du partenariat entre le service public et les organisations non gouvernementales”. Le coordonnateur du Groupe pour l’étude et l’enseignement de la population (GEEP), M. Babacar Fall, membre du Groupe de travail de la conférence, M. Belgasime Dramé, directeur exécutif de l’ASBEF, M. Alpha Dieng, directeur de l’ONG “Santé familiale” (SANFAM) représentent à Nairobi la communauté des ONG sénégalaises. La 2e conférence sur le partenariat des ONG pour la santé de la reproduction sera clôturée ce matin par une allocution du ministre kenyan de la Santé. Avant cette intervention, le Dr Thoraya Obaid, directrice exécutive du FNUAP, s’adressera aux délégués. EL BACHIR SOW
Lire l'article original : www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=13329&index__edition=9564
Santé publique : La valorisation des ressources humaines au centre des réflexions - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 17/04/02
En mai prochain, le ministère de la Santé publique organise à l’intention du personnel médical et para-médical, un atelier sur “la valorisation des ressources humaines ”. Bien avant cette date, M. Abouo N’Dori, ministre de la Santé, les membres du cabinet, les inspecteurs généraux et centraux de la Santé publique, les médecins, infirmiers, sages-femmes, techniciens de laboratoire, maintenanciers, gestionnaires des hôpitaux, etc. se sont donné rendez-vous hier à l’Insp d’Adjamé pour s’instruire sur un certain nombre de questions. Ce, en prélude au Forum social (une coïncidence, relève-t-on, plutôt) qui aura lieu bientôt sous les auspices du Premier ministre, M. Pascal Affi N’Guessan. Lire
Le Sida évolue, la lutte se relâche - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 17/04/02
Maladies infectieuses en Côte d' Ivoire/Dr Coulibaly Makan(Directeur des politiques et stratégies) Lire l'interview
Tamba, Goudiry, Kaffrine et Kédougou: rénovation et construction de structures de santé - Le soleil - Sénégal - 17/04/02
Plusieurs structures sanitaires des régions de Tambacounda et de Kaolack vont subir un programme de rénovation et aussi accueillir de nouvelles constructions grâce à un appui de la Banque mondiale de Développement (BAD). Parmi les bénéficiaires se trouvent Goudiry, Bakel, Tamba, Kédougou, mais surtout le district sanitaire de Kaffrine, qui attendait, depuis plusieurs années, le remplacement de son “trop vieux” centre de santé. Ces actions de rénovation, qui seront accompagnées d’un relèvement des plateaux techniques et de réalisations novelles, concernent les districts sanitaires de Kaffrine, Goudiry, Bakel, Tambacounda et Kédougou. Les appels d’offres viennent d’être lancés en ce sens par le ministère de la Santé et de la Prévention. Dans les districts de Bakel et Goudiry, il est prévu, en plus de la construction d’un bloc opératoire, la rénovation de 17 postes de santé, 8 maternités rurales, de l’unité de chirurgie du centre de santé de Bakel. A Tamba, on devrait voir pour bientôt la construction d’un bloc opératoire au niveau de son hôpital régional, ainsi que la rénovation de celui du centre de santé de Kédougou. Enfin, la chose qui devrait réjouir la population du département de Kaffrine, dans la région de Kaolack, se trouve être la construction tant attendue d’un nouveau centre de santé, à la place de l’actuel quasiment en ruine… Selon M. Birahim Diongue, coordinateur de la cellule d’Appui et de Suivi du plan national de développement sanitaire (CAS/PNDS) : “d’autres chantiers sont en perspective au niveau du ministère de la Santé et de la Prévention, sur le territoire national, comme ceux, prévus dans le Ferlo, notamment à Linguère, ainsi que dans d’autres régions périphériques où se développe principalement un programme en faveur des Soins obstétricaux d’urgence (SOU) destinés à réduire la mortalité maternelle”. FARA DIAW
Lire l'article original : www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=13291&index__edition=9563
Centre hospitalier national Yalgado-Ouédraogo : Mme Naré officiellement installée - Observateur paalga N°5627 du 16/04/2002
Après huit (8) ans de bons et loyaux services rendus à la nation, comme directeur général du Centre hospitalier national Yalgado-Ouédraogo (CHNYO), monsieur Idrissa Ouédraogo a passé le témoin à madame Christine Naré/Ouédraogo. Lire
Journée mondiale de la santé : Pour votre santé, bougez! - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 15/04/02
A l’instar des autres pays du monde, la Côte d’Ivoire a célébré hier la journée de la Santé. Elle a été marquée part une marche qui s’est déroulée sur le tronçon place de la république – Parc des sports de Treichville. Elle avait pour slogan “ Pour votre santé, bougez ”. Pour le ministre de la Santé publique, le Pr Abouo N’Dori Raymond cette manifestation interpelle les individus, les communautés et les décideurs politiques à plus d’engagement en faveur de l’activité physique, tous azimuts. Car dira-t-il “ on évalue à plus de 2 millions de décès annuels le coût humain de la sédentarité avec pour causes majeures les maladies cardio-vasculaires, le diabète et l’obésité. Ainsi, près de 80% des cardiopathies coronariennes précoces seraient dus à l’association d’une mauvaise alimentation, du tabagisme et l’inactivité physique ”. Pour favoriser l’activité physique de plein air, le ministre de la Santé publique a tenu à rassurer les pratiquants de footing et autres joggings. En effet, des dispositions seront prises afin que ceux-ci soient protégés par les forces de l’ordre. Il a aussi assuré son soutien au ministère des sports et loisirs pour les parcours de santé initiés. De fait, l’exercice physique procure directement ou indirectement beaucoup d’avantages sur le plan de la santé. Il permet de baisser le taux de violence chez les jeunes, de promouvoir des modes de vie sans tabac et de réduire les autres comportements à risque tels que les rapports sexuels non protégés. Il contribue également à lutter contre le sentiment d’isolement et de solitude chez les personnes âgées et améliore leur agilité physique et mentale. Outre le ministre de la Santé publique, le ministre des sports et loisirs Mme Bro Grébé et le représentant résident de l’OMS en Côte d’ivoire Dr Mame Thierno Aby Sy ont été de la marche. T.K.
Lire l'article original : www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=10485
Epidémie de méningite : La Banque islamique au chevet des malades - Observateur paalga N°5626 du 15/04/2002
Les institutions internationales se mobilisent pour la lutte contre l’épidémie de méningite au Burkina. Après le don de l’ambassade de France, c’est au tour de la Banque islamique de développement (BID) d’ouvrir sa caisse pour venir en aide aux malades de la méningite. Elle a remis au ministère de la Santé, le vendredi 12 avril 2002, un lot de consommables médicaux d’une valeur d’environ 149 millions de francs CFA. La cérémonie de remise s’est déroulée dans les locaux de la Centrale d’achat des médicaments essentiels génériques (CAMEG) en présence du secrétaire général du ministère de la Santé, du représentant de l’OMS au Burkina et bien entendu des responsables de la Banque islamique de développement. Ce lot de médicaments est composé de produits pour la prise en charge des malades, des antibiotiques (Chloramphénicol huileux et acqueux), des solutés de perfusion et bien d’autres, le tout d’une valeur de 200 000 dollars américains, soit environ 149 millions de nos francs. Cette aide est la plus grosse contribution qu’un organisme ou une institution octroie cette année à l’Etat burkinabè dans sa pénible lutte contre cette ravageuse épidémie. Ces produits viennent en appoint pour soulager les malades et selon le secrétaire général du ministère de la Santé, le docteur Jean-Gabriel Ouango, «Au lieu de continuer à vacciner la population pendant que le mal sévit, il vaut mieux plutôt concentrer les efforts pour arrêter la mortalité». Le ministère de la Santé se dit extrêmement sensible à cette réaction de la BID et prendra toutes les dispositions nécessaires pour que ces produits soient gratuitement distribués aux quatre coins du Burkina. Quant au représentant du BID, monsieur Imad Bahkali, il a affirmé que ce don constitue leur modeste contribution pour l’éradication de la méningite dans notre pays. Il a aussi ajouté que son institution sera toujours prête pour appuyer le gouvernement burkinabè dans les volets social et éducatif. Avec le nombre de décès de méningite qui va croissant, il était temps que des actions soient menées pour freiner cette évolution. A défaut donc de pouvoir prévenir la maladie, il est aussi urgent de voler au secours de ces milliers de personnes qui souffrent . Kader Traoré
Lire l'article original : www.lobservateur.bf/quotidiens/select.asp?Numero=423
Atelier régional sur les orphelins du sida : Des Premières dames s’engagent à passer aux actes - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 15/04/02
Mesdames Simone Ehivet Gbagbo, Marguérite Kérékou du Bénin, Stella Obasanjo du Nigeria, Viviane Wade du Sénégal et les représentantes de leurs homologues du Niger et du Gabon, se sont formellement engagées vendredi à Yamoussoukro à soutenir la mise en œuvre d’activités en faveur des orphelins du sida et autres enfants vulnérables. Lire
Mauritanie - Distribution de médicaments aux malades du diabète : Les patients reconnaissants aux initiateurs de la collecte d’aide en leur faveur - AMI - 15/04/02
Des quantités de médicaments et consommables tels l’insuline, le gliphage et autres produits pharmaceutiques d’une valeur de 1.600.000 (Un million six cent mille Ouguiya) ont été remises hier à des malades atteints de diabète. Ce lot, le quatrième du genre, a permis à mille malades de se doter de leur traitement pour une durée d’un mois, ce qui leur permettra de réaliser une importante économie et d’alléger leur souffrance. Les médicaments, dont le coût a été collecté auprès des institutions nationales et internationales, ont été distribués sous la supervision du Docteur spécialiste Mohamed Salem Ould Ahmed Ould Mohamed Saleh, sur prescription médicale en présence du président de ce l’ONG collectrice des montants et d’un responsable du Commissariat aux Droits de l’Homme, à la Lutte contre la Pauvreté et à l’Insertion. Après avoir récupéré leurs médicaments, certains malades ont exprimé à l’AMI leur gratitude et leur reconnaissance à cette ONG pour ce geste et les autres actions curatives qu’elle mène en leur faveur. Les bénéficiaires, hommes et femmes assez âgés, proviennent de tous les coins du pays. Selon les statistiques, 3.600 cas de diabète ont été décelés à l’intérieur du pays dont 1000 à Nouakchott. Selon le président de l’ONG, M. Mohamed Mahmoud Ould Bourdid, les malades du diabète sont dans la plupart des gens démunis et ont besoin d’une assistance régulière, précisant que lui-même, diabétique, a décidé d’engager cet effort pour venir en aide à ces malades. Il a ajouté que son ONG est représentée dans les villes de Nouakchott, Nouadhibou, Zouérate, Atar, Rosso et Kiffa. Pour sa part, le Dr Mohamed Salem Ould Mohamed Saleh, a indiqué que le diabète est très répandu dans notre pays et a plaidé en faveur de ses malades.
Le Cames s' inquiète du faible taux de réussite - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 15/04/02
Les enseignants veulent tourner le dos à l’inertie. Les Républiques du Burundi, de Madagascar, du Tchad, absentes à la 19ème session ordinaire du Conseil des ministres tenue à Abidjan du 8 au 13 avril, seront sans aucun doute heureuses des résultats de cette session. Une édition qui, au dire du ministre camerounais de l’Enseignement supérieur, M. Atangana Mebara, président en exercice du Conseil des ministres du Cames, permettra désormais d’améliorer la visibilité et asseoir la crédibilité du Cames”. Lire
Accès aux traitements du sida : doublement du nombre des bénéficiaires - Le soleil - Sénégal - 13/04/02
Le ministre français de la Santé, le Dr Bernard Kouchner, a signé, hier matin à Dakar, avec son homologue sénégalais, le Pr. Awa Marie Coll Seck, les textes d’un accord portant sur un appui d’un montant de 1 million d’euros (un peu plus de 650 millions de francs CFA) sur trois ans en faveur, pour une grande part, de la prise en charge thérapeutique, par les médicaments antirétroviraux (ARV), des personnes vivant avec le VIH. Lire
Sida : la redevance n'est pas une panacée - Cameroon Tribune - Cameroun - 13/04/02
Une redevance-sida : Pourquoi pas ? L'idée, sous forme d'appel pressant a été lancée vendredi dernier au Palais des Congrès de Yaoundé à l'occasion de la clôture de la 14e conférence médicale nationale. Lire
Santé : Un semblant d’échec ? - Observateur paalga N°5625 du 12/04/2002
Cette année comme en 2001, le Burkina Faso vit une fois de plus une situation difficile sur le plan sanitaire. En effet, au cours des quatre premières semaines de cette année (1er janvier au 7 avril 2002), un total cumulé de 8 446 cas de méningite cérébro-spinale (MCS) ont été notifiés par les services de santé. Parmi ces cas nous déplorons malheureusement 1059 décès, soit un taux de létalité de 12,5 % Le ministère de la Santé a pourtant pris toutes les dispositions en temps opportun pour épargner à notre pays ces fléaux qui semblent nous coller à la peau. Une campagne de vaccination de masse, à visée préventive, a été organisée courant janvier 2002, et des ressources ont été mises à la disposition des structures opérationnelles pour la prise en charge correcte des cas. Alors, comment s’explique ce semblant d’échec que nous vivons? • La vaccination préventive était dirigée spécifiquement contre les méningocoques A et C censées être pourvoyeuses d’épidémies. • Or, selon les analyses de laboratoire, la plupart des cas de méningite cette année sont dus à une nouvelle souche appelée méningocoque W135 sur laquelle la vaccination A + C n’a aucun effet. Pour se prémunir contre le W135, il aurait fallu vacciner nos populations avec un autre type de vaccin qui est actuellement rare sur le marché international, et qui coûte excessivement cher (entre 35 000 et 40 000 CFA la dose). Toutefois, les analyses microbiologiques ont mis en évidence l’extrême sensibilité de ce germe (le W135) aux médicaments que les services de santé utilisent actuellement, notamment, le chloramphénicol, (disponible dans toutes les formations sanitaires de notre pays). Que préconise le ministère de la Santé ? Face à la non-disponibilité du vaccin contre le méningocoque W135, le ministère de la Santé a décidé de modérer pour cette période d’épidémie la vaccination contre les méningocoques A et C pour concentrer ses efforts sur la prise en charge correcte des cas par l’administration immédiate de chloramphénicol à tout malade présentant des symptômes de méningite (forte fièvre brutale, maux de tête violents, vomissements, raideur du cou...). Pour assurer l’application effective de cette stratégie, le ministère de la Santé a procédé au renforcement des stocks de chloramphénicol dans les régions et les districts sanitaires et le traitement est rigoureusement gratuit. Le ministère de la Santé invite toute la population à ne pas céder à la panique et toute personne présentant des signes suspects à se rendre sans hésiter dans une formation sanitaire pour une prise en charge appropriée de sa maladie. Car avec l’application stricte du protocole thérapeutique par les agents de santé de façon précoce, la malade a la chance de guérir. Alors, aidez le ministère de la Santé à vous sauver. C’est gratuit. DCPM/Santé
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La santé de la reproduction expliquée aux journalistes - Le soleil - Sénégal - 12/04/02
Un atelier de renforcement des capacités des journalistes à traiter les questions liées à la santé de la reproduction afin qu’ils contribuent davantage à la mise en œuvre des politiques, programmes et projets de population et développement a été organisé, mercredi, à l’hôtel Ndiambour, par le Réseau des journalistes en population et développement, en collaboration avec l’Agence pour le développement du Marketing social (ADEMAS). Au cours de cette rencontre, les journalistes ont suivi des communications du Dr Isabelle Moreira du FNUAP, de Mme Sébastienne Diatta du Service national de la santé de la reproduction (ministère de la Santé et de la Prévention), du Dr Seynabou Mbengue, directrice exécutive de l’ADEMAS et de El Bachir Sow, coordonnateur du Réseau des journalistes. Les professionnels de l’information ont ainsi été familiarisés au concept de la santé de la reproduction et à ses différentes composantes dont la maternité à moindre risque et la planification familiale. Les discussions, qui ont suivi chaque exposé, leur ont permis de comprendre les enjeux de la santé de la reproduction et d’avoir des échanges sur la manière de traiter les informations liées à la SR. Le nouveau concept de santé de la reproduction tel que défini par la conférence internationale sur la population et le développement du Caire (septembre 1994) ne se limite plus à la santé de la mère et de l’enfant ni à réaliser des objectifs démographiques, mais il englobe tous les besoins en service de santé des différentes composantes de la population à tous les âges. “Il tient compte aussi des conditions socioculturelles et économiques et des rapports entre les hommes et les femmes qui déterminent la reproduction et la santé”. La santé de la reproduction signifie le bien-être tant physique que mental de la personne pour tout ce qui concerne l’appareil génital, ses fonctions et son fonctionnement. “Cette définition suppose que tout individu doit pouvoir mener une vie sexuelle satisfaisante en toute sécurité, qu’il est libre et capable de procéder autant qu’il le désire”. Cela explique que les hommes et les femmes doivent être informés et pouvoir utiliser la méthode de planification familiale de leur choix, ainsi que d’autres moyens de régulation des naissances qui ne sont pas contraires à la loi. D’où l’urgence de la formation et l’information des journalistes pour qu’ils puissent donner correctement la bonne et utile information. SAËR GUEYE
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Epidémie de méningite : Le nombre de cas augmente mais la mortalité baisse - Observateur paalga N°5625 du 12/04/2002
Le jeudi 11 avril 2002 le ministre de la Santé, monsieur Pierre Tapsoba, entouré de ses plus proches collaborateurs et Son Excellence monsieur Maurice Portiche, ambassadeur de France au Burkina, ont effectué une visite dans deux centres médicaux de la ville de Ouagadougou. Ils étaient accompagnés dans cette tournée par les principaux partenaires qui ont apporté leur soutien dans la lutte contre l’épidémie de méningite que connaît encore cette année notre pays. Il s’agit du représentant de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le docteur Mohamed Hacen, le représentant du Bureau régional de la Coopération italienne, monsieur Domenico Bruzzom et de monsieur Alphons Hennekens des Pays-Bas. Le but de la sortie du jeudi dernier sur les centres de santé était de voir l’état de la prise en charge des malades de méningite et d’encourager les équipes médicales qui s’activent à limiter les dégâts. On lira d’ailleurs sur le sujet, un communiqué de presse du ministère de la Santé ainsi qu’une déclaration du SYNTSHA, le Syndicat des travailleurs de la Santé humaine et sociale. Ce fut d’abord le district sanitaire de Pissy qui a reçu le ministre de la Santé et sa suite aux environs de 9 heures. Dans la cour dudit centre médical en plus des bâtiments existant deux tentes et des salles de classe d’une école non fonctionnelle qui servent de trame d’accueil à quelques malades de méningite. C’est précisément ces lieux qui ont été visités par le ministre de la Santé et ses partenaires. Le CMA de Pissy dessert en soins une population d’environ 230 000 habitants. Depuis le début de l’année, le district de Pissy a enregistré 1221 cas de méningite dont 60 décès, soit une létalité (mortalité) de 4,91%. Le deuxième centre de santé à être visité est l’hôpital Paul VI de Sigh-Noghin. Là également c’est aux malades de méningite qu’on a rendu visite. Le constat général qui se dégage à l’issue de cette tournée est que le nombre de cas augmente, mais il est heureux de constater que le taux de létalité, c’est-à-dire de mortalité, baisse. Cette année l’épidémie de méningite dans notre pays est caractérisée par la prédominance d’une nouvelle souche de méningocoque appelée W135. Face à cette situation l’ambassade de France, répondant à la demande du ministère de la Santé, a apporté un appui thérapeutique d’une valeur de 19 millions de francs CFA. D’autres partenaires tels que les Pays-bas, l’OMS, le Bureau régional de la Coopération italienne se sont également manifestés pour apporter leur soutien à la lutte contre l’épidémie de méningite. En rappel, l’ambassade de France a passé une commande d’une valeur de 19 064 349 Fcfa auprès de la CAMEG pour l’achat de médicaments et de consommables dont de l’ampicilline injectable et des sérums et perfuseurs. Ces produits ont du reste été remis le samedi 6 avril dernier à la direction de la médecine préventive. Cet appui des partenaires permet une prise en charge thérapeutique précoce et gratuite. Pourvu seulement que ces secours n’arrivent pas trop tard ! A. Kayorgo
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Paludisme, le plus grand tueur en série… - Le soleil - Sénégal - 12/04/02
Le paludisme occupe une fois encore le rang de vedette, comme le “serial killer” (tueur en série) le plus en vue dans les pays en voie de développement, notamment ceux d’Afrique subsaharienne. Dans cette attention particulière qui lui est réservée par les chercheurs africains réunis depuis mercredi dernier à Dakar, Il est suivi par les bilharzioses, les vers intestinaux, les trypanosomes et d’autres pathologies non moins importantes. Lire
Assises médicales internationales à Dakar: le paludisme, ennemi public n°1 en Afrique - Le soleil - Sénégal - 11/04/02
Les travaux de deux congrès conjoints de médecine ont démarré hier matin à l’université de Dakar avec, comme thèmes principaux, les parasitoses humaines et animales. Pendant quatre jours, des dizaines de spécialistes sont venus de plusieurs pays d’Afrique et du reste du monde échanger sur des résultats de nombreuses recherches effectuées sur diverses affections parasitaires touchant les humains, mais aussi le bétail. Le paludisme, endémie qui fait le plus de victimes en Afrique, occupe la majorité des sujets. Lire
Prise en charge sanitaire : 5.000 Ivoiriens assurent les soins de leurs parents depuis la France - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 10/04/02
Cotiser 20 à 30.000 FCFA par mois (selon que le parent a moins de 50 ans ou plus) depuis la France pour permettre une couverture médicale à 100% au vieux, à la vieille ou à la tante que l’on a laissé derrière soi en Côte d’Ivoire. C’est cette aubaine qu’offre le groupe de secours mutuel dénommé Medirex France, aux Ivoiriens de la diaspora. Trois ans et demi déjà que Medirex France dont le directeur du développement est M. Jules Assi Abou, apporte un certain soulagement à tous ceux des Ivoiriens qui n’ont plus envie de perdre le sommeil à l’annonce d’une mère malade pour qui il faut soudainement débourser d’énormes sommes. Pour en finir avec ces dépenses brusques, les envois constants d’argent pour assurer des frais médicaux qui, souvent, sont détournés à d’autres fins, près de 5.000 Ivoiriens vivant en France ont opté pour Medirex France. Permettant ainsi à environ 12.000 personnes de bénéficier d’une couverture médicale à 100% à Abidjan. Depuis les consultations externes aux hospitalisations en passant par les analyses, l’imagerie. Les ordonnances sont également honorées par le groupe de secours mutuel Medirex France. L’un des directeurs de cette structure de secours qui peut faire les prélèvements sur les adhérents grâce à la confiance que lui voue la Banque de France, M. Jules Assi Abou a présenté récemment Medirex France à la presse ivoirienne. Medirex France n’a eu au départ la confiance d’aucune autre clinique de la place sauf la Pisam. Où aujourd’hui, ce sont environ 300 millions de FCFA qui arrivent par an de France pour les soins des vieux, vieilles, tantes et autres cousines restés en Côte d’Ivoire. Si au départ, la Pisam a dû soigner pour près de 150 millions de FCFA pendant que les cotisations se mettaient en place, aujourd’hui, la chose a pris. Et le directeur du développement en Côte d’Ivoire pour recenser les cliniques qui offrent les meilleurs plateaux techniques. Medirex France offre l’avantage d’assurer les personnes du 3ème âge quelle que soit la maladie. Toute chose qui n’est pas possible avec les assurances habituelles qui excluent du système les personnes de cette catégorie. Raison ? C’est à cet âge-là que se révèlent ou s’exacerbent les maladies chroniques. Et grâce à Medirex France, des catégories de personnes qui n’auraient jamais pu accéder à la Pisam, parce que n’étant pas assurées ou n’ayant pas de ressources suffisantes pour se payer des soins de qualité, peuvent être prises en charge par cette clinique. Chaque bénéficiaire de Medirex France peut bénéficier de prestations sanitaires de deux millions et demi par an. B. ZEGUELA
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Orphelins du sida : On se concerte pour des actes concrets en Afrique de l’Ouest et du Centre - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 09/04/02
Sur une population de 267.249.515 enfants de moins de 15 ans, 69,9% auront perdu leur mère ou les deux parents d’ici à 2010 par le fait du Vih/Sida en Afrique subsaharienne. Ce sont les résultats des études estimatives tirées de “ Enfants sur la brèche ” de l’Agence pour le développement des Etats-Unis. C’est l’un des quatre documents de base utilisé par l’atelier régional de l’Afrique de l’Ouest et du Centre sur les orphelins et autres enfants vulnérables qui a été ouvert hier à l’hôtel Président de Yamoussoukro par la ministre déléguée chargée de la Lutte contre le sida, Mme Assana Sangaré-Ouattara. Qui avait à ses côtés l’envoyé spécial du secrétariat général des Nations-Unies pour le Vih/Sida en Afrique, l’ambassadeur Stephen Lewis et la représentante de l’Unicef pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre, Mme Rima Salah. Devant l’ampleur du phénomène des orphelins du sida, l’Unicef, l’Usaid, le Fhi, l’Alliance Save the children et l’Onusida ont, en partenariat, décidé de la tenue de l’atelier de Yamoussoukro. Qui regroupe plus de 160 délégués venus de 24 pays de l’Afrique de l’Ouest et du Centre dont onze font partie de l’étude américaine citée plus haut . Selon cette étude, le pourcentage d’orphelins du sida dans onze pays des deux régions du continent (Centre et Ouest) est passé de 18,1% en 1990 à 47,2% en 2000. Et les estimations de 60,9% en 2005 à 69,9 en 2010. Devant cette alerte à la catastrophe dans un domaine où la riposte est la moins forte, les pays ont été invités à l’atelier de Yamoussoukro afin d’honorer les engagements pris par leurs gouvernement, ONG et société civile lors de la session spéciale de l’Assemblée générale des Nations unies sur le Vih/Sida en juin 2001. A Yamoussoukro, pendant cinq jours, il ne s’agira pas de faire des analyses de la situation sans faire de propositions concrètes pour l’avenir. “ Il s’agit d’une réunion concrète pour élaborer des plans concrets pour une cible concrète ”, a tenu à souligner l’ambassadeur Stephen Lewis, qui a renchéri en ces termes: “ …Concevez des plans et des partenariats et toute la famille des Nations unies vous viendra en aide ”. En effet, cet atelier, le tout premier du genre sur les orphelins, doit faire des propositions concrètes et réalisables de soins, de soutiens, du cadre législatif, etc. pour la prise en charge des orphelins du sida et également de tous les enfants vulnérables, au sortir de cette rencontre en début d’après-midi du vendredi prochain. Une délégation de Premières dames d’Afrique de l’Ouest et du Centre conduite par Mme Gbagbo est attendue à cet atelier le jeudi prochain. B. ZEGUELA à Yamoussoukro
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